Le 5 août 2017, cet homme, alors âgé de 19 ans, admis dans un service psychiatrique mais en permission, avait franchi une grille de la tour Eiffel, avant de sortir un couteau en criant « Allah Akbar ». Des militaires de l’opération Sentinelle lui avaient alors ordonné de poser son couteau à terre et il s’était exécuté sans opposer de résistance avant d’être interpellé.
Quelques heures plus tard, en garde à vue, il a affirmé être en contact avec des membres du groupe État islamique en zone irako-syrienne, ce qui était faux. Et il a déclaré : « Si j’avais tué des soldats, j’aurais crié la victoire de Daesh contre la France. (…) J’ai voulu les décapiter. »
Déjà connu des services de police, il avait passé plusieurs séjours en hôpitaux psychiatriques depuis son adolescence.
Dans les premières heures de l’enquête, un expert avait conclu à une altération du discernement, avant que deux autres expertises psychiatriques ne constatent qu’une altération du discernement, ouvrant la voie à un procès.
Il a été condamné en 2019 à quatre ans de prison avec dix ans de suivi socio-judiciaire, incluant une ordonnance de traitement.
Adi Hütter (entraîneur de Monaco, vainqueur du Barça) : « Comme vous pouvez l’imaginer, je suis très content et très…
Boris continue de faire des ravages. Après l'Autriche, la Roumanie, la Pologne et la République tchèque, c'est au tour de…
LdC : Platini juge le nouveau formatBarçaVoir la couverture complète sur Google News
QUOTIDIEN, présenté par Yann BARTHES avec son équipe de journalistes et chroniqueurs, revient pour une 8ème saison sur TMC. Le…
De nombreux retraités recevront un transfert de 600 euros à la fin du mois de septembre. Et vous en faites…
À 14 ans et 263 jours, le milieu de terrain d'Arsenal Max Dowman est devenu le plus jeune joueur de…