De plus en plus critiqué au Liban, le Hezbollah est poussé à choisir entre ses racines nationales et ses liens avec l’Iran
« Un jour, Biden et Netanyahu crieront au meurtre de nos dirigeants. Ceux qui leur succéderont seront encore plus féroces», affirme Ali devant les ruines de son appartement de Beyrouth, détruit par une frappe aérienne. Qui prendra la tête du Hezbollah ? La question n’est pas résolue, les membres de son conseil suprême, tous dans le viseur d’Israël, ne pouvant prendre le risque de se réunir pour élire un nouveau secrétaire général. Il faudra cependant un homme pour succéder à Hachem Safieddine, le successeur attendu de Hassan Nasrallah dont l’assassinat a été confirmé mercredi par Israël, et qui incarnait un idéal. Gendre de Qassem Soleimani, général des Gardiens de la révolution iraniens assassiné en 2020 par les États-Unis, ce religieux charismatique, chef de guerre et cousin de Hassan Nasrallah, était un seigneur d’Iran.
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