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De la quasi-rupture avec Macron à la confrontation avec Darmanin, comment Gabriel Attal s’est libéré
Il est 20 heures, ce dimanche 7 juillet, deuxième tour des législatives anticipées. Gabriel Attal est à Matignon. Entouré de sa famille et de quelques ministres, comme Roland Lescure, Catherine Vautrin et Prisca Thévenot. Ces trois-là sont venus se faire briefer sur les sujets qui seront tenus sur les plateaux télé. Tous sont évidemment au courant des premières tendances. Mais c’est comme un soulagement que l’on ressent lorsque les résultats apparaissent sur l’écran.
Le chef du gouvernement est chaleureusement applaudi. La majorité sortante n’a pas remporté l’élection, loin de là. Mais elle a limité les dégâts. Dans la Macronie, beaucoup font de Gabriel Attal le principal artisan de cette débâcle évitée.
:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/PSOTUFKGDFAKDIUT43MNOGKGTE.jpg?w=390&resize=390,220&ssl=1 "L’insolent Eric Coquerel réélu à la Commission des Finances, la Macronie obtient six des huit présidences – Libération")
