Divertissement

Daphné Bürki : sa façon très particulière de vivre son deuil, trois mois après la mort de son compagnon

Résumé

Dans un portrait réalisé par Libération, Daphné Bürki évoque la disparition de son compagnon il y a trois mois.

Trois mois plus tard, le journaliste a visiblement du mal à accepter cette perte.

Mais j’ai trouvé une manière spéciale de gérer ça

Résumé

Elle n’oubliera jamais le 1er mai 2024. Une date synonyme de tristesse pour Daphné Bürki qui a perdu son compagnon il y a presque trois mois. A cette date, la journaliste qui travaillait pour Canal+ s’est rendue sur Instagram pour annoncer la terrible nouvelle.

 » Mon amour, je t’aime de toute mon âme. Merci de m’avoir aimé comme tu l’as fait. Tu étais si précieux pour tes amis et ta famille. Tu peux marcher en moi, tu resteras ma lumière. elle a écrit pour annoncer la disparition de sa moitié à sa communauté.

Une mort brutale

Bien que Daphné Bürki ait toujours été discrète sur sa relation, de nombreux médias ont fait le lien entre la journaliste et le photographe David Hache. Notamment lorsque le studio Partizan a annoncé sa mort le 16 avril dernier. Le studio a décrit le photographe comme un « réalisateur (et) photographe talentueux » par le biais d’un communiqué de presse.

La journaliste et lui ont également été aperçus ensemble à plusieurs reprises lors de divers événements. Aujourd’hui, celle qui a été nommée directrice des costumes des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 tente de faire son deuil, à sa manière, comme elle l’explique à Libération.

Comment Daphné Bürki tente de faire son deuil

En effet, Daphné Bürki s’est confiée à nos confrères ce mardi 23 juillet 2024 à travers un portrait. L’occasion pour elle d’évoquer pour la première fois la disparition de son compagnon. Si elle a visiblement encore beaucoup de mal à accepter cette « séparation », la journaliste use d’une méthode qui lui est propre pour tenter d’évacuer sa tristesse.

« Le seul moment où je m’autorise à crier et à laisser sortir toute ma tristesse, c’est sur mon vélo », confie-t-elle à Libération. Nos confrères notent qu’elle peut compter sur le soutien de ses deux filles et de son chat pour l’aider à affronter ce deuil difficile. Toute cette « tribu » lui permet « pour éponger les émotions négatives de la maison.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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