Le conflit israélo-palestinien s’est invité sur le tapis rouge du Festival de Cannes lors de cette deuxième soirée de festivités. Pour sa première montée des marches de la saison, l’actrice franco-algérienne Leïla Bekhti a affiché son soutien à la Palestine en portant une petite épingle pastèque sur sa très sobre robe blazer noire AMI, ornée d’une traîne asymétrique en mousseline transparente et accompagnée de Bulgari. bijoux.
Depuis plusieurs mois, le symbole de la pastèque est utilisé pour représenter la Palestine – et l’engagement pour la cause palestinienne – en raison de la proximité de ses couleurs avec celles du drapeau de l’enclave.
En avril dernier, Leïla Bekhti s’est associée à l’Unicef pour les enfants de Gaza dans une vidéo poignante. « Il faut que ça cesse », a plaidé la jeune mère, dénonçant « une situation tragique » dont les enfants « sont les premières victimes » et appelant au libre passage de l’aide humanitaire.
Un message de soutien aux otages sur un foulard
Un invité de cette deuxième soirée du Festival de Cannes portait un foulard « Bring them home », en référence aux otages palestiniens. La jeune femme n’a pas été identifiée.
REUTERS / © Clodagh Kilcoyne
A quelques mètres d’elle, un autre invité à la première de « Furiosa : A Mad Max Saga » de George Miller portait une écharpe « Bring them home ». ), en référence aux otages israéliens détenus par le Hamas. Sur sa robe, il y avait aussi de nombreuses photos d’otages.
Deux formes de soutien qui n’ont donné lieu à aucune demande de discrétion de la part des organisateurs.
