Concert de Kalash en Martinique : l’artiste a mis le feu au stade Dillon à Fort-de-France

Il avait promis un concert « historique » et il l’a tenu. Mercredi soir (14 août), Kalash a livré un show spectaculaire aux 23 000 spectateurs du stade Dillon de Fort-de-France. Pendant plus de 3 heures, le « Mwaka Boss » a enflammé la scène… au sens propre comme au sens figuré !

Le concert de Kalash le 14 août 2024 au Dillon Stadium.

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©Kelly Babo

Dès l’ouverture du spectacle, Kalash a créé la surprise. Il est apparu au-dessus de la scène, perché sur une nacelle et vêtu d’un costume, un projecteur de flammes à la main.

Accompagné de ses musiciens, l’artiste martiniquais a interprété en live une trentaine de ses chansons. Entre les flammes, les invités surprises, les changements de tenues et la pyrotechnie… les spectateurs ont été émerveillés du début à la fin.

Reggae, dancehall, shatta… le chanteur a mis tout le monde d’accord et fait honneur à son île.

Pour rendre ce moment encore plus unique, « l’enfant du coin » a fait appel à de nombreux personnalités. Hier soir, Kalash a partagé la scène avec divers artistes. Il a notamment interprété l’un de ses premiers tubes, « Pran pié » avec Lieutenant, « Moments gâchés » avec Satori, « Laptop » avec Maureen…

Le public a également eu la surprise de retrouver Saël, Lord Kossity, Mc Janick, Don Miguel, Pleen Pyroman, la violoniste Afroline et même… Thierry Henry. Pour rappel, l’ancien footballeur international et actuel sélecteur de laL’équipe de France Espoirs était le directeur artistique du single « En balade » en collaboration avec Kima, qui était également présente.

« Bando », « Plézi », « Big Machine », « Après la chute », « Chanson de Mwaka », « Libère-moi », « Independent gyal », « Taken », « So coman »…la liste est longue. Le public a revisité le répertoire de Kalash.

Avec tous ses tubes, il a fait vibrer la foule et la scène.

Pour clôturer ce concert mémorable, c’est avec des étoiles dans les yeux et beaucoup d’émotion que les milliers de spectateurs ont dit au revoir au chanteur au fil des chansons « Tombolo » et « Mada »comme une chorale.

Après cette prestation, on reste sans voix. Il fallait être là…