NARRATIF – Ce mercredi à l’aube, la police a lancé une attaque contre la villa du leader visé par une procédure de destitution. Accusé de « sédition » pour avoir déclenché la loi martiale, Yoon Suk Yeol radicalise son discours.
À Séoul,
La police avait besoin d’échelles pour attaquer la villa de Yoon Suk Yeol, perchée sur une colline au cœur de Séoul, protégée par des barbelés, tel un bunker. Et percer la foule de milliers de partisans du président déchu de Corée du Sud, massés autour de sa résidence de Hannam Dong, formant un mur humain, dans une ambiance chaotique ponctuée d’échauffourées.
«Je suis venu pour sauver le président. Trump et Yoon, même combat !explique à Figaro Lee Sung Moon, 30 ans, coiffé d’une casquette rouge floquée d’un « Rendre sa grandeur à la Corée ». Un slogan venu d’Amérique pour montrer son soutien au leader visé par une procédure de destitution apporte un parfum de 6 janvier au Capitole sur le tarmac de Séoul. En face, des centaines d’opposants au Parti démocrate de Corée dénoncent le « monstre » qui a stupéfié le pays du calme matinal en imposant la loi martiale le 3 décembre, ravivant les fantômes de la dictature.
Dans l’aube glaciale du 15 janvier…
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