Info le Figaro – Après avoir longtemps été silencieux, le club champion français et son président, Didier Lacroix, ont décidé de répondre. Un cabinet d’avocats a été mandaté pour affirmer ses arguments juridiques. Ainsi que pour poursuivre Arnaud Dubois, l’intermédiaire au cœur de cette affaire loin d’être achevé
Dans un e-mail envoyé au nouveau président de la National Rugby League (LNR), Yann Roubert, le 22 avril – que Le Figaro a obtenu -, le président du stade Toulouse a lancé la contre-attaque après des semaines de silence dans ce qui est accepté d’appeler l’affaire Jaminet. Une réplique par écrit. Et les actes futurs.
Selon nos informations, le Champion Club of France et l’Europe, dont la réputation a été ciblée par les fuites de la présente affaire des fuites qu’il considère comme orchestrées afin de le nuire au lancement, dans les prochains jours, une contre-offensive juridique et judiciaire.
Les avocats se réfèrent à l’article L. 131-16 du Code des sports qui autorise, par exception, les ligues pour plafonner le projet de loi de salaire consacré aux joueurs afin de préserver les capitaux propres sportifs
Legal d’abord. Dans cet e-mail, le stade Toulouse soulève une question essentielle selon lui: les indemnités libératrices, que Melvyn Jaminet a dû quitter pour quitter le club Perpignan, sont contraires à la loi. Ce que le cabinet d’avocats mandaté par Didier Lacroix travaillera à prouver. Il n’est pas question de remettre en question le plafond salarial (plafond de la paie) …