L’ennemi est venu de l’intérieur. Un type ordinaire, âgé de 26 ans, qui vivait dans son appartement de Toulouse (Haute-Garonne). Un ingénieur informatique comme des dizaines de milliers d’autres en France. Bref, pas du tout le hacker qu’on attendait. Pourtant, pendant des mois, Capgemini, le géant français de l’informatique, a sué à cause de lui.
La société cotée était persuadée d’être rançonnée par un « affilié », c’est-à-dire un hacker russophone capable de s’introduire dans le système d’information d’une entreprise, de crypter des données sensibles et de laisser une note exigeant de l’argent en échange d’une clé permettant de tout récupérer. Mais non, le hacker, qui s’est comporté comme un affilié, faisait partie de l’entreprise. Un cas exceptionnel dans l’histoire française de la cybercriminalité.
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