Un retour médiatique inattendu: celui de Claude MalhuretAncien président de Doctors Without Borders (MSF) et secrétaire d’État aux droits de l’homme dans le gouvernement Chirac en 1986.
Malgré son adjoint, puis le sénateur, il en exige 10 ans (l’auto-emploi – République et territoires), et bien que son éloquence soit reconnue en France, Sa voix n’était pas vraiment internationale. C’était avant son discours le mardi 4 mars au Sénat Rostrum sur le soutien de l’Ukraine et l’attitude de Donald Trump.
En qualifiant ce dernier comme« Empereur incendiaire » Et en critiquant l’administration américaine, Claude Malhuret a pu capter l’attention des médias et des réseaux sociaux, en particulier aux États-Unis (tandis que son discours n’a pas fait la une des canaux américains).
Des mots qui parlent à l’opposition américaine
Les paroles du sénateur d’Alliers ont trouvé un écho particulier avec médias de gauche Et Opposition américaine.
L’AtlantiqueUn magazine centriste et très respecté aux États-Unis, fondé en 1857, a même décidé de transcrire en totalité les mots traduits en anglais. Tandis que la version américaine en ligne du Huffington Post a fait un article en prenant le discours sur vidéo Avec ce titre plutôt accrocheur : « Arrêtez tout ce que vous faites et regardez le point de vue de ce sénateur français. »
Dans un contexte où leL’opposition américaine est « paralysée » depuis l’élection de Donald Trump. Les démocrates ont du mal à entendre. Et les paroles de Claude Malhuret, ciselées, précises, ont résonné avec les électeurs qui ont voté pour Kamala Harris.
Il est vrai que Les démocrates n’ont plus vraiment un leader: Kamala Harris, Joe Biden ou Barack Obama restent silencieuses. Et les seules vidéos rares que les démocrates élus au Congrès essaient actuellement plutôt humoristiquePrendre les codes de la jeune génération. Mais il n’y avait aucun discours aussi clair et puissant que celui du sénateur français, parlant d’Amérique aujourd’hui.
Malgré sa viralité, Les médias favorables à Donald Trumpcomme Fox Newsont choisi de l’ignorer. Aucune réaction officielle n’a également été émise par l’administration Trump.