Il est soupçonné d’avoir violé à plusieurs reprises la petite fille de 4 ans lourdement handicapée dont il avait la garde depuis le 7 décembre 2023, puis d’avoir diffusé les images sur des réseaux pédophiles. « Je ne souhaite pas entrer dans les détails, mais pour qu’un acte de torture ou de barbarie soit qualifié, il faut démontrer la violence exceptionnelle exercée », souligne Renaud Gaudel, procureur de la République de Nantes, pointant « l’extrême fragilité » de la victime et la volonté de « nier à cette personne sa dignité humaine ». L’assistant familial risque la prison à vie.