VU D’AILLEURS – Si les conséquences psychologiques des années de pandémie n’ont pas encore été étudiées en profondeur, certains signes avant-coureurs ne peuvent être ignorés. Une étude semble démontrer que le stress psychologique durant les périodes de confinement a favorisé l’apparition de manies.
Par Nike Heinen (Die Welt)
Les « enfants du coronavirus » : c’est ainsi que l’on a appelé la génération qui a dû faire face pendant des mois à la fermeture des écoles et à la restriction des contacts. Si tous ces jeunes n’ont pas perdu des proches, ils ont au moins ressenti un profond sentiment d’impuissance. À l’époque, de nombreux experts en Allemagne et dans le monde avaient déjà prédit que ces événements laisseraient des traces dans leur psyché.
Et en effet : alors que les maladies mentales étaient déjà en hausse chez les jeunes avant la pandémie, certaines de ces maladies ont connu une augmentation plus importante dans certaines tranches d’âge pendant les années de coronavirus. Par exemple, les troubles alimentaires ont explosé chez les filles dès l’âge de 10 ans, tandis que des cas de dépression ont été observés chez de plus en plus de filles dès l’âge de 14 ans. Aujourd’hui, une étude publiée dans la revue spécialisée « PNAS »…
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