Dernière course pour ces championnats du monde à Saalbach, tous les espoirs d’une médaille de tricolore reposent sur les épaules de Clement Noël. Pour son quatrième mondial, la performance du skieur de Val d’Isère est attendue par un clan entier tricolore qui savait bien lorsqu’il met les valises en Autriche que ce slalom serait sa principale chance d’une médaille.
Avec quatre victoires, cet hiver en Coupe du monde, le champion olympique apparaîtra sur la glace autrichienne, avec confiance dans les jambes et surtout dans la tête.
Deux ans après une quatrième place frustrante à Courchevel-Méribel, le Triumph des habits cette saison, maintenant accompagné d’un préparateur mental. « J’ai ressenti le besoin de le faire alors qu’auparavant, j’ai toujours pensé que je pouvais tout gérer par moi-même », a déclaré Clement Noël au début de la saison. Je me suis dit qu’il n’avait pas beaucoup coûté pour essayer de s’améliorer, comme à tous les niveaux. »»
Depuis lors, le leader des Blues a mesuré l’importance: « Nous pouvons être le skieur le plus rapide du monde, si nous n’avons pas l’esprit d’un champion, nous ne gagnerons jamais de course. Pour moi, c’est le plus important chose. Il est assez exaltant de réussir à le faire.
Ses préoccupations avec une cheville droite derrière lui, Clément Noël se présente à Saalbach toujours accompagné de son âme en tant que concurrent. « Gagner des courses est ce que j’aime, ce que je veux faire », répète systématiquement le skieur Val d’Isère. Celui qui cherche toujours « l’émotion de gagner une course ».
Le désir d’une médaille bien établie avec son chef, l’équipe française attend toujours son premier podium. Une pression supplémentaire sur les épaules de celle qui sera l’une des grandes favoris ce dimanche (sans oublier Kristoffersen, Meillard, Haugan ou Feller). « Je l’ai mis par moi-même », a répliqué immédiatement au début de la semaine Clement Noël. «Je fais ma course, je ne peux pas avoir de contrôle sur ce que font les autres. J’essaierai de faire de son mieux. »»
Une façon de penser qui rejoint les paroles de l’un de ses entraîneurs, Kevin Page: « Pression, il sait ».
L’entraîneur du tricolor, qui tirera le deuxième tour, compte évidemment sur Clément Nöel: «C’est la seule médaille des Français, qui a fait un podium en Coupe du monde jusqu’à présent. Il sait que dimanche, il est attendu. Et je pense qu’il y est habitué. »»
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