Quelque chose de nouveau dans la mort de l’enfant Émile. Une vingtaine d’enquêteurs mobilisés ont révélé des informations sur leurs
compétence. Le chef de la gendarmerie a fait le
indiquer sur l’enquête RTL. Pour rappel, le petit garçon de 2 ans et demi avait disparu sur 8 juillet 2023 sur la commune de Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence.
Son os ont été retrouvés plusieurs mois après sa disparition, mars 2024. En effet, toutes les pistes pour savoir comment va Emile
décédé sont actuellement à l’étude. Selon Hubert Bonneau, tout le monde veut « Découvrez la vérité pour que les familles puissent faire leur deuil. »
Une enquête qui continue pour le petit Emile
Pour rappel, le 30 mars 2024, l’enquête sur la disparition du petit Émile avait trouvé une première réponse. UN le marcheur tombe sur le crâne de l’enfant. De la vêtements et os du garçon ont également été retrouvés et soumis à des analyses. UN ADN humain inconnu et étranger
à la famille d’Émile a également été retrouvée.
« Il s’agit d’un dossier qui est évidemment très complexe.« explique Hubert Bonneau, directeur général de la Gendarmerie nationale, sur RTL. « Il y a
beaucoup d’expertise qui sont actuellement menées par les experts de l’IRCGN, l’Institut de recherches criminelles de la gendarmerie, qui comparer les résultats et les étudier« . affirme le réalisateur, qui s’implique tant bien que mal dans le cas d’Emile.
Un dossier compliqué pour connaître les circonstances de son décès
De plusieurs pistes sont étudiés pour découvrir comment Emile est mort. « La police, je veux dire,
continuer à travailler dur sur cette question. Il y a 20 enquêteurs mobilisés en permanence. » confie le directeur général. La thèse préférée ? L’accidentmais ce n’est pas le seul. Beaucoup de gens pensent aussi à
meurtre.
« Nous n’excluons rien dans cette affaire. Nous sommes sur un fait divers, mais derrière, il y a familles. Le travail des gendarmes est donc
comme pour l’affaire de la jeune Lina. Notre métier est aussi de découvrir le vérité pour que le les familles sont en deuil. C’est un
devoir que nous avons envers les familles. C’est la chose la plus importante. explique le policier. En effet, la famille du petit garçon attend toujours
réponses à leurs questions sur la mort d’Emile.