ENQUÊTE – Ils attendent que le gouvernement rectifie la situation après la suppression de 1 500 postes d’internes hospitaliers. Le temps presse car les futurs médecins commenceront à choisir leur spécialité à partir de vendredi.
La colère monte chez les nouveaux internes en médecine (élèves de 6 ans)et (année dernière), mais le gouvernement ne veut toujours pas écouter. Mais le temps presse, car la procédure de sélection des candidats commence vendredi.Il reste peu de temps pour obtenir une ordonnance modificative« , observe le député LR Yannick Neuder. Le débat sur l’attribution des postes d’internes a été lancé par une lettre ouverte à la ministre de la Santé Catherine Vautrin et plusieurs pétitions d’étudiants en médecine, dont l’une, lancée par Hélène Hérubel sur Change.org, a atteint plus de 28 000 signatures.
Début juillet, le gouvernement a supprimé 1 500 postes de stagiaires d’ici 2024. En conséquence, le «Le choix de la spécialité se transforme en cauchemar. Nous vivons une injustice monstrueuse » se lamente Clara, étudiante à l’Université Paris Cité, qui rêvait de devenir chirurgienne urologue, mais n’a finalement pu accéder à aucune spécialité chirurgicale malgré un bon classement…