Cinq jours après son retour d'Argentine, Auradou en formation
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Cinq jours après son retour d’Argentine, Auradou en formation

Cinq jours après son retour d’Argentine, Auradou en formation

Toujours inculpé de viol – la demande de licenciement sera examinée ce jeudi – l’international français a effectué une séance de préparation physique avec la Section Paloise.

L’international français Hugo Auradou, rentré mercredi d’Argentine où il est toujours poursuivi pour viols et agressions sexuelles, était de retour lundi matin au centre d’entraînement de Pau, a appris l’AFP de source proche du club béarnais, confirmant une information du journal Sud Ouest.

Le joueur de 21 ans est venu faire évaluer sa condition physique et une première séance de préparation physique. Il suivra ensuite un travail individualisé pendant plusieurs semaines en dehors du groupe. Aucun calendrier de reprise pour les entraînements collectifs et un retour à la compétition n’est encore à l’ordre du jour, selon la même source.

Le deuxième rang a été autorisé la semaine dernière par la justice argentine à rentrer en France en attendant les conséquences judiciaires de sa mise en examen pour viol aggravé, qui concerne également le troisième rang rochelais Oscar Jegou.

Les deux joueurs sont toujours poursuivis pour « viol collectif » sur une Argentine de 39 ans qui avait passé une partie de la nuit du 6 au 7 juillet dans leur chambre d’hôtel à Mendoza, après un match test du XV de France.

Verdict ce jeudi pour l’abandon des charges

Le juge d’instruction en charge du dossier doit se prononcer jeudi sur la demande de non-lieu déposée par les avocats des deux joueurs.

Sollicitée par l’AFP, la Section paloise n’a pas souhaité faire de commentaire sur le retour à l’entraînement de son joueur. La semaine dernière, le club avait dit accueillir « avec joie et soulagement le retour sur le territoire français de son deuxième ligne Hugo Auradou », estimant qu’il s’agissait d' »un pas de plus vers la reconnaissance de son innocence », dans un communiqué dans lequel il indiquait qu’il ne ferait « aucun commentaire dans l’attente de la conclusion de la procédure ».

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