Divertissement

Christophe : une personne a hérité de tous les biens du chanteur, son frère dévoile son nom

Le chanteur Christophe est décédé le 16 avril 2020. L’artiste est décédé à l’âge de 74 ans à Brest en pleine pandémie de coronavirus. Dans les colonnes de France Dimanche publié ce 19 avril, Gérard, le frère de l’artiste est revenu sur l’héritage de l’artiste. Selon lui, le chanteur était un « vrai dépensier qui n’avait rien mis de côté.

Christophe a dépensé beaucoup d’argent au cours de sa vie : « Il ne possédait aucun bien immobilier. Il aimait aussi les jeux de hasard, le poker entre autres (…) Ça brûlait pas mal ! Mais malgré tout, il possédait beaucoup de choses de valeur, comme ses juke-box, ses pianos, ses collections de guitares, sa Porsche, ses disques d’or… », a révélé le grand frère.

« Tout est revenu à sa fille Lucie »

Concernant l’héritage de Christophe, c’est sa fille, Lucie, qui a hérité de tous ses biens : « Tout est revenu à sa fille Lucieà qui il avait également acheté un appartement », a-t-il déclaré. S’il n’a jamais eu de liens avec son fils aîné Romain, Christophe était très proche de sa fille Lucie, fruit de ses amours avec Véronique, en 1971.

De son vivant, Christophe a évoqué sa relation avec sa fille :  » Lucie a-t-elle eu la chance de m’avoir pour père ? Je ne peux pas répondre. Je sais que nous un vrai lien aujourd’hui. Quand elle me photographie, elle ne me manque jamais« a-t-il déclaré à Paris Match.

Obsèques de Christophe à Paris

Dans les colonnes de France Dimanche, le frère de Christophe est également revenu sur les obsèques du chanteur.  » J’étais en très bons termes avec Doudou, son chauffeur, car Christophe n’avait plus de permis de conduire. C’est lui qui m’a informé de la date des obsèques de mon frère. Véronique, sa veuve, ne m’avait pas. même pas appelé« , il expliqua.

Christophe a été enterré au cimetière du Montparnasse à Paris. Et le frère de l’artiste ne supporte pas l’organisation par Véronique de ses obsèques : « Ma belle-sœur n’avait rien prévu. Il y avait un trou, c’est tout. Elle n’a fait le nécessaire que bien plus tard. Cela m’a profondément choqué. Nous étions en tout petit groupe, à peine une vingtaine de personnes… », lâche-t-il. Et pour continuer : « Véronique m’a ignoré autant qu’elle le pouvait et puis, à un moment donné, nos regards se sont croisés, elle n’a eu d’autre choix que de venir vers moi. Nous étions moins d’une vingtaine.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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