Les nouvelles les plus importantes de la journée

Cholestérol : quelles huiles privilégier selon la science pour réguler plus facilement son taux

Cholestérol : quelles huiles privilégier selon la science pour réguler plus facilement son taux
Voir la suite de cet article ci-dessous

Vidéo suggérée Quels produits sont de saison en novembre ?

Vidéo 1 sur 2

Plusieurs facteurs contribuent à réduire le taux de « mauvais » cholestérol (le fameux LDL). L’activité physique et une alimentation saine sont privilégiées. On sait notamment qu’il est préférable de réduire les graisses animales (beurre, fromage, charcuterie ou pâtisseries par exemple) au profit des graisses insaturées présentes notamment dans les huiles. Encore faut-il savoir les choisir avec soin ! Voici nos conseils.

Le mot clé ? Privilégiez les huiles riches en acides gras monoinsaturés (oméga-9) ou polyinsaturés (oméga-6 et oméga-3).

Bonne nouvelle, l’huile d’olive en fait partie, car elle est riche en acides gras insaturés. Il apporte des oméga 9, qui contribuent à réduire les taux de LDL et à augmenter les taux de HDL (en d’autres termes, le « bon cholestérol »). Cette huile est l’un des ingrédients phares du « régime méditerranéen », régime privilégié par les nutritionnistes car reconnu pour ses propriétés cardio-protectrices, et donc fortement recommandé aux personnes ayant un excès de cholestérol.

Il contient également des acides gras monoinsaturés, des « bonnes graisses » qui contribuent à réduire le taux de cholestérol LDL et sont bénéfiques pour le système cardiovasculaire. D’une saveur douce et parfumée, il est parfait pour assaisonner des crudités, ou comme touche finale d’une soupe de potiron ou d’un poisson grillé. Évitez de le cuire car il ne supporte pas les températures élevées.

Sa richesse en acides gras monoinsaturés en fait une huile recommandée pour aider à réduire le mauvais cholestérol. Il contient notamment de l’acide oléique, principal acide gras de la famille des oméga-9. Comme l’huile de noix, elle s’utilise de préférence crue, par exemple dans une vinaigrette ou pour assaisonner un carpaccio de daurade.

Cela peut être une bonne option car il contient de bons niveaux d’oméga-6 (acides gras polyinsaturés) et d’oméga-9 (acides gras monoinsaturés). D’une saveur douce et plutôt neutre, il est polyvalent et s’adapte à tout. Idéal pour les cuissons à haute température (pommes de terre rissolées, mafé au poulet), il peut également être utilisé en pâtisserie (gâteau au yaourt, muffins) ou utilisé comme assaisonnement d’une salade ou pour concocter une mayonnaise.

Grâce à son faible taux de graisses saturées et à sa bonne dose de graisses monoinsaturées (acide oléique et acide alpha-linolénique), il est tout à fait recommandé pour aider à lutter contre le mauvais cholestérol et réduire les risques de maladies cardiovasculaires. Pratique, il s’utilise aussi bien dans une vinaigrette qu’une marinade, des pâtisseries et des cuissons à la poêle ou à la poêle.

Quitter la version mobile