Divertissement

Charlotte Gainsbourg : « Yvan rejette l’idée catégoriquement », ce souhait qui lui est cher mais qui lui est refusé

Né en France, Charlotte Gainsbourg a d’origine britannique par sa mère, Jane Birkin. Originaire de Londres, la chanteuse récemment décédée a passé une partie de sa jeunesse outre-Manche avant de s’installer en France pour poursuivre une carrière d’actrice. Elle rencontre ensuite Serge Gainsbourg sur le tournage du film Slogan par Pierre Grimblat, en 1969. Leur seule et unique fille naîtra deux ans plus tard.

Par son père, Charlotte Gainsbourg a également des origines est-européennes. « Je suis sorti 50% anglais et 50% de juifs ashkénazes de Russie, elle confirme dans une interview avec Madame Figaroexpliquant avoir eu recours à un test ADN. J’espérais avoir du sang mongol, car mon père avait les yeux bridés, ou d’autres origines un peu exotiques. Rien, c’est juste moitié-moitié… ».

Yvan Attal s’oppose à un projet de Charlotte Gainsbourg

Charlotte Gainsbourg souvent rendu visite à sa famille anglaise dans son enfance. « Là-bas (…) j’aimais jouer au français, alors qu’ici j’aime me sentir un peu étranger. Avoir un côté anglais”, confie-t-elle à nos sœurs. Sa sensibilité à la culture britannique a été cultivée par sa mère qui, cependant, note l’actrice, « s’est forcé à parler français » à la naissance de sa deuxième fille.

Charlotte Gainsbourg ne l’a pas fait jamais installé au Royaume-Uni. Pour autant, l’envie de s’installer de l’autre côté de la Manche avec sa famille ne lui manque pas. « J’ai le fantasme d’aller vivre à Londres« , révèle la fille de Jane Birkin. Le projet n’enchanterait pas son mari Yvan Attal. Le réalisateur né à Tel Aviv a grandi en France. « Yvan rejette l’idée catégoriquement »regrette la mère de ses enfants.

Cet exil qui a fait du bien à Charlotte Gainsbourg

Yvan Attal n’a probablement pas eu son mot à dire lorsque sa compagne a décidé de quitter la France. En 2013, Charlotte Gainsbourg déménagé à New York. L’actrice et chanteuse s’est exilée sur la côte Est des États-Unis pour profiter des bienfaits de la vie dans l’anonymat.

« Je pouvais faire ce que je voulaiselle se souvient aujourd’hui. Après, je me souviens toujours de cette phrase que me disait mon père quand, adolescente, je râlais à chaque fois qu’on me demandait un autographe : « Vous ne réalisez pas à quel point vous allez souffrir le jour où cela n’arrivera plus. » » La mère de famille est enfin retourné dans son pays d’origine en 2020 alors que la pandémie et le meurtre de George Floyd perturbé la tranquillité américaine.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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