Charline Vanhoenacker, Waly Dia… : La réaction sans équivoque des collègues de Guillaume Meurice dans son conflit contre France Inter
Guillaume Meurice est toujours dans la tourmente. Ce jeudi 2 mai, l’humoriste a annoncé sur Twitter avoir été convoqué par sa direction en vue d’un éventuel licenciement : «Chers auditeurs, chers auditeurs. Pour des raisons indépendantes de ma volonté, je ne participerai pas aux deux prochaines diffusions du Grand Dimanche Soir sur France Inter. Pour des raisons dépendant de la volonté de la direction de Radio France, je suis « convoqué à un entretien préalable en vue d’une éventuelle sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’à la rupture anticipée de mon contrat à durée déterminée pour faute grave ». J’ai reçu l’ordre de cesser toute activité professionnelle à Radio France et de ne pas me présenter sur mon lieu de travail avant ledit entretien. Donc. Bon, des bisous quand même, hein. Le plaisir est terminé !« Dimanche dernier, le chroniqueur de Super dimanche soir a réitéré ses propos polémiques sur le conflit israélo-palestinien au micro de France Inter : « Il y a des choses que nous pouvons dire. Par exemple, si je dis « Netanyahou est une sorte de nazi mais sans prépuce », c’est très bien. Le procureur a dit « ça va‘. »
Guillaume Meurice soutenu par ses collègues
Je prends acte de la décision de Radio France. Cette situation est très préoccupante, mais la troupe reste mobilisée au service du rire. Soutien à mon ami @GMeurice https://t.co/DJZ4eKjEOJ
– CharlineVanhoenacker (@Charlineaparis) 2 mai 2024
Il y aura encore une réunion qui aura lieu, où l’on mettra dans la même phrase, avec un ton sérieux, le non-prépuce et la « faute grave » de Netanyahu. Et un comédien qui pourrait perdre son emploi de 10 ans à la fin. — Waly Dia (@WalyDIA) 3 mai 2024