Charles Leclerc, son amour de l’Italie et des fans de Ferrari : « Une énergie folle »
C’est avec dix minutes de retard que le pilote Ferrari s’est présenté. Il avait des excuses, après avoir passé sa journée à tester encore et encore sur simulateur. Et comme un autre Ferrari francophone, son « parrain », le regretté Jules Bianchi, Charles Leclerc est un bavard. Avec ses ingénieurs comme avec ses interlocuteurs. Surtout lorsqu’il s’agit d’évoquer sa passion : son amour pour l’Italie, alors que la Scuderia attaque chez elle l’un de ses deux Grands Prix, dimanche lors du Grand Prix d’Émilie-Romagne, en attendant Monza en septembre. Pendant près d’une demi-heure mardi soir, il a évoqué son amour des fans, la façon dont ses performances sont perçues, son goût pour les circuits piégeux comme Imola et l’arrivée la saison prochaine de Lewis Hamilton chez Ferrari.