Le Monégasque de 26 ans a mis fin à la malédiction qui le poursuivait sur le Rocher pour enfin s’affirmer sur ses terres.
Il en rêvait, il l’a fait. Charles Leclerc est devenu, dimanche, le premier pilote monégasque à s’imposer en Principauté. La Ferrari numéro 16 a battu Oscar Piastri (McLaren) et Carlos Sainz (Ferrari) dans une course soporifique marquée par un drapeau rouge dès le premier tour après une succession d’incidents envoyant quatre voitures au tapis dont celle d’Esteban Ocon (Alpine).
- Le jour de gloire de Leclerc
C’était devenu une véritable malédiction. En cinq participations au Grand Prix de Monaco, Leclerc n’avait jamais connu la joie dans ses rues avec trois abandons et aucun podium. Il était arrivé cette semaine déterminé à briser ce mauvais signe. Très à l’aise lors des essais, impressionnant lors des qualifications avec une pole position, le pilote Ferrari s’était encore une fois donné les moyens de réaliser son rêve.
Lire aussiTops/Flops du GP de Monaco : la joie de Leclerc, le camouflet de Red Bull
Parti sur des médiums, sa stratégie a été brisée dès le départ après la chute impliquant Sergio Perez et les pilotes Haas. Le drapeau rouge est sorti et la course est interrompue pendant plus de quarante ans…
Cet article est réservé aux abonnés. Il vous en reste 71% à découvrir.
Voulez-vous en savoir plus ?
Débloquez tous les objets immédiatement.
Déjà inscrit? Se connecter
