« Je ne sais pas quoi faire. Depuis le 7 février, Sébastien Candas a vécu dans une situation compliquée. Le chalonnais loue un logement social de l’OPAC, la rue Jules-Chevrier, qu’il considère comme malsaine. » Je vis dans mon mon chambre aujourd’hui », explique-t-il. L’appartement était sale.
Deux jours plus tard, le 7 février, le locataire a déménagé. « Il n’y avait rien fait, c’était sale. Le samedi 8, j’ai évacué les meubles de la cuisine, et j’ai vu qu’il y avait des dégâts d’eau. J’ai appelé le garde, il n’y avait personne pour le week-end. Enfin, le Les services OPAC noteront l’état de l’hébergement le lundi 10, et une équipe de nettoyage aura lieu le lendemain.
« L’équipement est apparu en bon état de fonctionnement »
Contacté concernant l’état de l’hébergement, l’OPAC donne une autre version des faits. «L’entrée dans les locaux a été officialisée par un inventaire le 7 février, au cours de laquelle aucun signe de conditions insalubres ou de dégâts d’eau n’a été noté. L’équipement est apparu en bon état de fonctionnement », explique le propriétaire social. L’hébergement avait également été « précédemment occupé sans aucun problème majeur à être signalé ». Certains troubles mineurs avaient néanmoins été identifiés.
L’OPAC « contesté par l’étendue des dégradations volontaires observées »
Pour l’OPAC, les dégradations ont été causées par le locataire: le 10 février, «sans consultation avec nos services, il a entrepris des démantèles: le retrait des toilettes, des meubles d’évier et certaines revêtements de plancher, générant des dégradations importantes», explique l’OPAC.
Le lendemain, «Une intervention de l’ON-Call a permis de réparer les fuites indiquées, suivies d’une opération de nettoyage. Une vérification a confirmé l’absence d’un obstacle technique au chauffage de l’hébergement. Néanmoins, le remplacement des sols nécessitant un travail supplémentaire, l’installation provisoire de certains équipements a été planifiée. »»
Et le 13 février, le propriétaire social a déclaré qu’il « avait invité le locataire à étudier une solution de réchauvance temporaire. Nous nous engageons également à lui offrir un autre logement d’urgence si nécessaire. » Aujourd’hui, nous sommes mis au défi par l’étendue des dégradations volontaires notées. Nous restons mobilisés pour régler cette situation dans les meilleures conditions possibles et poursuivre le dialogue avec le locataire pour trouver un résultat satisfaisant. »»
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