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Ces dernières années, de nombreux magasins se retrouvent dans une situation très complexe. À cause de l’essor de l’e-commerce, mais aussi de l’inflation, une enseigne n’a d’ailleurs eu d’autre choix que de disparaître.
Un coup dur pour cette célèbre enseigne
Plusieurs firmes font face à de grosses difficultés financières ces derniers temps. Si elles font leur possible pour s’en sortir, elles n’arrivent pas toujours à sortir la tête de l’eau. Cela entraîne donc inévitablement des fermetures.
Nos confrères de Ouest-France ont alors révélé qu’une autre enseigne se retrouve dans une situation très difficile. Elle vit d’ailleurs ses derniers jours. En revanche, il ne s’agit pas pour autant d’une mauvaise nouvelle pour le magasin.
Tout d’abord, sachez que c’est Botanic qui a pris cette décision radicale. Elle ne sera plus présente dans la zone d’activités de Kervilier, à Quimper, dans le Finistère.
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Placée en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Quimper, l’enseigne va faire ses valises. En revanche, ce n’est pas pour autant que la jardinerie, quant à elle, va fermer. C’est en tout cas ce que Télégramme a rapporté.
Frédéric Plancher, directeur général du groupe Nicot, propriétaire de la jardinerie depuis une quarantaine d’années, a fait plus de confidences sur le sujet. Il a indiqué : « Nous avons demandé le placement en redressement judiciaire de notre filiale jardinage auprès du tribunal de commerce« .
Avant d’ajouter aussi : « Notre filiale jardinage a subi des difficultés en 2022 et 2023 qui ont impacté l’équilibre financier. Mais son activité va perdurer. Nous avons engagé un plan de relance ». Mais ce n’est pas tout.
« Il n’y a absolument aucun risque de fermeture de la jardinerie »
Ouest-France a révélé que le groupe Nicot, basé à Concarneau, avait plusieurs projets en tête suite à la fin de sa collaboration avec l’enseigne Botanic. « Nous arrêtons notre collaboration avec Botanic. L’enseigne va changer de nom au 1ᵉʳ avril 2025 », a précisé Frédéric Plancher.
Et d’indiquer également : « On le dévoilera dans les prochains jours. Nous nous sommes un peu égarés ces derniers mois. En écoutant nos clients et nos salariés (37), nous avons décidé de revenir aux fondamentaux« .
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Suite à cette décision concernant l’enseigne, le directeur général a révélé qu’en « remettant en place une collaboration accrue avec des fournisseurs locaux pour répondre aux attentes des clients aussi bien sur les prix pratiqués que sur les gammes de produits proposés ».
Il a d’ailleurs assuré que « l’ensemble des 37 salariés est conservé ». Une bonne nouvelle donc pour tous les employés. Pendant six mois, c’est le tribunal de commerce qui va surveiller la jardinerie.
Suite à la fin de la collaboration avec l’enseigne, Frédéric Plancher affirme qu’il s’agit d’un « nouvel élan ». Il prévoit d’ailleurs que les choses vont revenir « à la normale à l’automne 2025 ». Pour finir, il a rassuré les clients : « Il n’y a absolument aucun risque de fermeture de la jardinerie ».
Source : Ouest-France
