Capture d’écran BFMTV
Amélie Levêque-Merle, Civil Party lors du procès de Joël Le Scouarnec, témoigne du visage découvert avant le procès pour « changer la honte du camp ».
JUSTICE – «Je dois être reconnu comme une victime, car sinon je serai très difficile pour moi de me reconstruire. »» Depuis plusieurs années, Amélie Lévêque-Merle a témoigné sur le visage du viol qu’elle a dit qu’elle avait souffert en 1991, sur la table d’opération de l’ex-Usurgian Joël Le Scouarnec, dont le procès ouvre ce lundi 24 février à valves.
L’ancien médecin, pédocriminalement, apparaît pour les viols et les agressions sexuelles commises de 1989 à 2014 sur 299 victimes, des faits qu’il a enregistrés dans les journaux et qui a permis d’identifier ses cibles présumées. Ils auraient eu lieu en particulier dans les établissements médicaux de Brittany, de Loire-Atlantique, Charente-Maritime et Touraine.
Amélie Lévêque-Merle est la seule des près de 300 victimes présumées à être sorti de l’anonymat pour raconter son histoire. Dans une interview prise en contrôle ici Touraine dimanche, les années quarante sont revenues aux conséquences du viol qu’elle dit qu’elle avait souffert de Joël Le Scouarnec dans une clinique de Loches (Touraine) en 1991 et sur sa décision de parler publiquement, de faire de la prise publique pour faire Avancez la lutte contre la violence contre les femmes et les enfants.
« Nous devons changer la honte d’un campElle a dit. J’espère que cela donnera envie aux autres de le faire, car nous voyons toujours que les victimes ont tendance à se protéger, pour ainsi, à se cacher. Et je pense que, comme Madame Pelicot, nous ne devons pas avoir honte précisément. »»
« À la fin de l’opération » par le chirurgien accusé de violence sexuelle, « J’ai beaucoup pleuré, mais je n’avais pas le souvenir d’une agression ou d’un viol, pas du tout »Elle a dit, « Plutôt d’un mauvais geste médical qui aurait pu me faire du mal ». Mais cette intervention médicale apparemment banale laisse des conséquences importantes à Amélie Lévêque-Merle.
« Il y a eu beaucoup de troubles de l’alimentation, des troubles dépressifs » et un « Peur de la couche blanche » et « Environnement médical »a détaillé la femme qui vit toujours à Loches. Tant de conséquences « Que personne ne pouvait expliquer »à la fois sur le côté de la famille et des médecins, « C’était totalement irrationnel ».
Le clic s’est produit en 2019 lorsqu’un viol commis par Joël Le Scouarnec dans un hôpital Lochois est informé dans la presse régionale. « Je me suis dit: » Mais c’est moi! « » « dit Amélie Lévêque-Merle, pour qui la révélation était « Très compliqué » Pour collecter, mais l’a déterminé à voir son agression reconnue par la justice « Pour vraiment fermer le chapitre le Scouarnec ».
« Je suis stressé à la veille de l’ouverture du procès »Elle a dit au microphone BFMTV dimanche, confiant à avoir « Vrai » de » voir » et » rencontrer « Son attaquant. « J’ai vraiment des choses à lui dire parce que je ne veux pas avoir de regrets »Elle a ajouté, espérant « Ne revient plus jamais » Après l’audience.
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