Triste nouvelle pour les fans de « Scènes de ménages » : l’acteur Yannik Mazzilli, qui incarnait le frère d’Emma dans la série de M6, est décédé. Ses proches se sont exprimés sur les réseaux sociaux.
C’est une très triste nouvelle qui secoue aujourd’hui le monde du petit écran. L’acteur Yannik Mazzilli est décédé lundi 29 juillet.
Décès de Yannik Mazzilli : son frère se mobilise
Selon les différentes publications de ses proches sur les réseaux sociaux les 29 et 30 juillet 2024, l’acteur savoyard serait décédé après un long combat contre la maladie. Il serait décédé à l’hôpital avec sa femme, Vanessa, laissant derrière lui deux enfants, Mila, 18 ans, et Liam, 15 ans.
Quelques instants après l’annonce de sa mort, son frère a mis en ligne une cagnotte de solidarité pour apporter une aide financière à sa femme restée « avec lui pour l’accompagner jusqu’au bout » au détriment de son activité professionnelle. « Vanessa a donc besoin de votre aide pour éviter la liquidation après tant d’années d’efforts »a écrit le frère de l’acteur.
Enora Malagré s’exprime après la mort de Yannik Mazzilli
Une bien triste nouvelle qui a secoué le monde de la télévision, mais aussi celui du théâtre. Et pour cause, dès octobre prochain, Yannik Mazzilli aurait dû remonter sur scène dans la toute nouvelle pièce de Philippe Lelievre, Soren Prevost et Arnaud Gidoin, Vive le vent.
À ses côtés, Enora Malagré, qui n’a pu retenir ses larmes ce lundi 29 juillet. Elle a donc publié une story sur son compte Instagram pour rendre hommage à celui qui, depuis 2012, incarnait Hervé, le frère fictif d’Anne-Elisabeth Blateau dans la série phare de M6, Scènes de ménages.
« Le grand Yannick Mazzilli nous a quittés… Il devait jouer cette pièce avec nous à la rentrée. C’est une injustice indescriptible. »elle a d’abord dit. « Infiniment triste… Je pense à sa famille, à ses amis, nous jouerons pour lui, la tête tournée vers les étoiles, où il continuera à briller par son talent, avec son petit sourire aux lèvres »a-t-elle conclu avant de publier une photo de son acolyte avec la simple mention de son prénom.
