ENTRETIEN. L’ancien numéro 5 mondial, qui descend les raquettes depuis deux ans, livre Figaro son point de vue sur l’édition masculine.
Deux ans après la fin de sa carrière sportive, l’ancien double demi-finaliste à Roland-Garros (2013, 2015) qui gère avec son ancien entraîneur et ami Thierry Ascione, All in, deux académies de tennis et trois centres de padel, reviendra à les micros lors de Roland-Garros, comme l’un des consultants de Vidéo principalequi détient les droits de diffusion exclusifs des onze séances nocturnes.
LE FIGARO. – Qu’avez-vous retenu de votre première année en tant que consultant ?
Jo-Wilfried TSONGA. – J’ai passé un bon moment. Cela m’a fait plaisir d’être là. Revenir sur ce tournoi qui me tient tant à cœur et parler de ce que je connais le mieux. Je ne fais ces commentaires qu’une fois par an et seulement une demi-quinzaine le soir. Donc, je ne me considère pas encore vraiment comme un commentateur ou un consultant. Dans tous les cas, j’essaie d’être le plus juste possible. Si demain je dois analyser par exemple un match de Gaël (Monfils), ce n’est pas évident d’être impartial, étant donné qu’on…