Pour tenter de remplir leurs chambres, de nombreux hôtels de la capitale, souvent indépendants, baissent encore leurs prix. Mais il n’y a pas de miracle : leur taux d’occupation reste souvent bien en deçà des objectifs. Les Jeux olympiques sont loin d’être la poule aux œufs d’or qu’on attendait, pour ne pas dire fantasmée. Dans la capitale, où l’offre est pléthorique, environ 70 % des chambres ont trouvé preneur, un pourcentage qui devrait être proche de celui de Londres (72 %) lors des JO de 2012.