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ces très secrètes négociations entre la DGAC et les contrôleurs aériens qui ont permis d’éloigner les menaces de grève

Les contrôleurs aériens, qui travaillent en moyenne 32 heures par semaine, sont régulièrement pointés du doigt pour leurs conditions de travail très avantageuses.
ÉRIC PIERMONT / AFP

ENQUÊTE – Primes, vacances, revalorisations… A l’ombre des tours de contrôle, le syndicat majoritaire tente de faire adopter ses revendications. Le silence règne autour de l’avancée des discussions, pourtant déjà bien engagées.

Des tours de contrôle au gouvernement, le silence règne. Où en sont les négociations avec les contrôleurs aériens ? Qu’ont-ils réussi à négocier en échange de la levée de leurs préavis de grève qui annonçaient un « jeudi noir » et menaçaient le week-end de l’Ascension ? En coulisses, tous les regards sont tournés vers un seul et même acteur : le Syndicat national des contrôleurs aériens (SNCTA). Syndicat majoritaire des contrôleurs aériens, à 28%, il tire les ficelles des négociations avec la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) et le ministère des Transports.

« Ils ont réussi à obtenir l’argent qu’ils voulaient »nous discutons au sein d’un syndicat minoritaire. «Ils ont réalisé un sacré braquage»nous dit même une source, qui pointe « la toute-puissance du SNCTA ». Si les discussions avec la DGAC ne sont pas encore terminées, un document adressé au Figaro se vante « un très bel accord » avec le syndicat…

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Cammile Bussière

One of the most important things for me as a press writer is the technical news that changes our world day by day, so I write in this area of technology across many sites and I am.
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