Quatre jours de conférence sociale et fiscale ont ouvert mardi à Nouméa. L’événement du gouvernement, qui vise à être en collaboration avec les partenaires sociaux, a commencé par une présentation de la situation sur le marché du travail, près d’un an après l’explosion de la violence en Calédonie. Mais qu’est-ce qui est devenu ceux qui n’ont pas de travail, n’affectent pas le chômage et ne figurent pas parmi les demandeurs d’emploi?
Au moins 7 032 ex-employés disparus des radars? Le sujet, inquiétant pour l’avenir, a été discuté le mardi 22 avril au cours du premier matin de la conférence sociale et fiscale. Organisé par le gouvernement local à Nouméa, dans l’auditorium de la province du Sud, il a été ouvert par un inventaire de l’emploi.
Une compilation de données souvent alarmante, mais pas nécessairement nouvelle. Comme la destruction de destruction claire de onze mille qui a été notée au cours de l’année privée de l’année dernière. À la fin de 2024, le nombre d’employés est dépassé de 60 000 pour la première fois depuis 2010. Environ 11 600 CDD ou CDI ont perdu leur travail entre mars et décembre. Nous le savions. En public, il y avait environ 1 700, à la fois contractuels et fonctionnaires.
Et puis il y a ce questionnement mentionné par plusieurs parties prenantes. Les «ex-employés», ceux qui ont donc perdu leur emploi à la suite de la violence ».sont potentiellement au chômage et les demandeurs d’emploi « a commencé Véronique Ujicas, pour l’Institut des statistiques et des études économiques. « Mais ils peuvent être au chômage, et pas encore les demandeurs d’emploi. Ou ils peuvent être des demandeurs d’emploi, mais pas indemnisés. Parce qu’ils n’étaient pas dans des conditions d’emploi, avant les émeutes, d’ouvrir le droit au chômage indemnisé. »
Surtout, le chef du service économique et de distribution indique: « Ils peuvent être des ex-employés, ni les chômeurs ni les demandeurs d’emploi. » De là, quelques semaines ou mois, l’ISEE doit leur consacrer une étude.
Mais sans attendre, spécifie le directeur du CAFAT, « Nous avons essayé de trouver où ils étaient. Comme nous avons un certain nombre d’informations, grâce à tous les services que nous servons, nous avons commencé à essayer de les compter. »
Xavier Martin décrit le résultat de ces premiers chèques croisés. « Depuis le 15 avril, nous en avons 4 336 Ex-employés qui sont rémunérés pour le chômage total. « Et « 866 chômeurs qui bénéficient du nouveau système de chômage total appelé atrocités, qui compense à un niveau plus élevé que celui du chômage commun total et concerne les entreprises détruites à plus de 30% ».
« »À cela, décrypte ensuite le directeur général du CAFAT, Nous ajoutons 5 741 personnes qui ont été rémunérées pour l’un des systèmes de chômage « , mais « Qui ne sont plus aujourd’hui et nous ne pouvons plus trouver! » Tant d’habitants qui ne semblent pas avoir trouvé un emploi ou sont devenus des travailleurs auto-empreints, ou qui ont pris sa retraite … « Nous avons rencontré toutes les bases (données) que nous pourrions rencontrer et nous avons 5 741 personnes (…) que nous ne trouvons nulle part. «
Sans oublier « Les 1 291 personnes qui n’ont pas eu de contrat le 13 mai (qui avait perdu un contrat d’emploi actif) et que nous n’avons pas trouvé, tout au long de la période, jusqu’à aujourd’hui. C’est-à-dire pas de travail, pas de retraite, aucune allocation quotidienne pour l’arrêt de travail. » En ajoutant ces deux chiffres, il y a déjà 7 032 personnes sans situation connue dans le café. Et la durée des départs à l’extérieur du galet ne semble pas être suffisante pour résoudre le mystère.
Je ne suis pas sûr que 100% d’entre eux aient quitté le territoire. Cela signifie que nous avons une composante de la population, qui continue de croître, qui est ici, et qui n’a pas de ressources.
Xavier Martin, PDG de CAFAT
« Il pose une première observation »Il alerte en arrondissant: « Nous devons essayer de trouver huit mille personnes pour comprendre ce qu’elles sont devenues et voir quelles mesures doivent être prises. Le grand risque est de laisser tant de personnes potentiellement actifs sur le bord de la route. » Ensuite, ils sont rejoints par la compensation aujourd’hui, si les emplois nécessaires pour les absorber ne sont pas là demain.
La conférence sur la taxe sociale se poursuit le mercredi 23 avril sur le thème «Coût de main-d’œuvre, compétitivité et pouvoir d’achat».