A partir de ce dimanche 7 juillet, un nouvel équipement sera obligatoire à installer dans toutes les nouvelles voitures. Il répond à la nouvelle norme européenne GSR2 visant à améliorer la sécurité routière.
De nouveaux bips sonores retentiront désormais dans toutes les nouvelles voitures. A partir de ce dimanche 7 juillet, huit équipements comprenant une trentaine de technologies seront en effet obligatoires dans tous les nouveaux véhicules vendus sur le continent, quelle que soit leur taille, leur marque ou leur catégorie, premium ou non. L’objectif : améliorer la sécurité routière.
Ces nouveaux équipements sont :
C’est la nouvelle norme « GSR2 » (pour Global Safety Regulation II) qui impose cet équipement afin d’améliorer la sécurité routière. Après avoir insisté en 2009 sur la réduction des conséquences des accidents avec la norme GSR I, GSR II tente d’éviter que les accidents ne se produisent. Notamment en encadrant les actions du conducteur.
Concrètement, lors de la conduite, le conducteur recevra un signal sonore si sa vitesse dépasse la limite ne serait-ce que d’un kilomètre/heure, un signal lumineux si ses yeux quittent la route trop longtemps ou un mouvement du volant pour rester dans sa voie. Le véhicule semble assister en permanence le conducteur, ce qui peut paraître très intrusif.
Si le texte européen insiste sur l’acceptabilité des signaux, certains éléments sont déconnectables, comme l’avertisseur de survitesse. Mais à chaque redémarrage du véhicule, s’agissant d’éléments de sécurité exigés par la réglementation, ils seront à nouveau actifs.
Certains systèmes présentent également parfois quelques bugs, même s’ils sont souvent présents sur les modèles les plus haut de gamme depuis plusieurs années. Ainsi, la lecture des signes pour informer l’alerte de survitesse prend parfois en compte un signe secondaire, ce qui se traduit par un bip qui n’a pas vraiment de sens.
Une autre question soulevée par ces nouveaux équipements de sécurité est celle du prix de ces nouveaux équipements. Selon un document de travail réalisé par la Clepa en 2018, lors des discussions sur cette nouvelle réglementation, l’association des équipementiers européens avait estimé un surcoût de 500 euros par véhicule pour l’arrivée obligatoire de ces nouveaux équipements.
A mots couverts, certains constructeurs confirment un surcoût. Il reste toutefois difficile à quantifier en fonction de l’âge, de la taille des modèles, du fait que leur marque soit ou non dans un grand groupe ou un groupe avec des marques premium pour minimiser les coûts. Certains ont également décidé d’arrêter certains modèles, car le respect des normes devenait prohibitif en termes de prix, selon Auto Infos, comme la Suzuki Ignis ou la Renault Twingo.
ASSE : la réaction d'Olivier Dall'Oglio après le succès des Verts face à l'AJ AuxerreFabriqué dans le footballVoir la couverture…
Chaque mois, la CAF propose de nombreuses aides au logement pour soutenir les Français et les aider à payer une…
Les jeux "N'oubliez pas les paroles!" (France 14/18h40) : 1,84 million (14,7%)"N'oubliez pas les paroles!" (France 14/19h15) : 2,57 millions…
L'ANALYSE SPORTIVE - C'est la belle image du week-end en Europe. Pour sensibiliser leurs supporters et lutter contre l'abandon d'animaux,…
LL'annonce était alléchante : « Idéal pour vivre ou investir à Périgueux (…) Au bord du canal et au cœur…
l'essentiel Les footballeurs toulousains sont dans le Nord ce samedi 5 octobre (7e journée) à la recherche d'un rebond après…