Tribune – En attendant que Boualem Sansal soit libéré, Alger s’engage à regagner ses ressortissants expulsés et que les déclarations insultantes contre la France et ses dirigeants cessent, le gouvernement doit prendre des mesures de bon sens, estime l’ancien ministre *.
* Dernier livre publié : « GRANDS. The Ukraine War et The Switch to the World »(Odile Jacob Editions, 2024).
Il s’agit de l’illustre Rima Hassan, du franco-syro-palestinien et adjoint européen de son État, qui nous fournit, « malgré son propre libre arbitre », la grille de lecture de ce qui nous arrive. Ce qui arrive à Boualem Sansal en premier, en otage du régime algérien jeté en prison depuis novembre 2024, malgré son âge avancé et une maladie grave. Puis en Algérie, qui s’enfonce dans une sorte d’islamisme national agressif, et dont le président accuse la France de « génocide » et humilie ouvertement Paris. Enfin, en France, submergé par une immigration musulmane hors contrôle et qui voit déployer sur son sol un bataillon de Mudjahidines algériennes 2.0, qui menacent quotidiennement violent.
Le point commun? La lutte décoloniale (en vérité un désir de colonisation à l’envers) porté par des idéologues musulmans et d’autres « racialisés » contre la France …
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