Ces 10 actions pourraient prévenir 20 000 cancers du sein par an : voici comment
Adopter de meilleures habitudes de vie, comme maintenir un poids santé, limiter sa consommation d’alcool, faire de l’exercice, etc., peut réduire considérablement le risque de développer un cancer du sein. En France, environ 20 000 cas pourraient être évités chaque année. Découvrez dix conseils essentiels pour mieux vous protéger et prendre votre santé en main.
Parmi les facteurs de risque du cancer du sein, plusieurs sont liés au mode de vie et à l’environnement. Ainsi, en adoptant de bonnes habitudes, 20 000 cancers du sein pourraient être évités chaque année en France… soit un tiers des nouveaux cas.
Maintenir un poids santé
La relation entre le poids corporel et le risque de cancer du sein est complexe. Mais il a déjà été démontré à de nombreuses reprises que l’obésité est associée à une augmentation de 30 à 50 % du risque de cancer du sein, principalement chez les femmes ménopausées.
La bonne nouvelle est que même une perte de poids modérée peut avoir un impact positif. Selon le Fondation pour la recherche sur le cancer du sein (BCRF), perdre cinq livres ou plus après 50 ans pourrait réduire le risque futur de cancer du sein de 32 %.
Limitez votre consommation de viande
Les résultats d’une étude publiée dans leJournal international du cancer montrent que le risque de développer un cancer du sein augmente avec la consommation de viande rouge. Il en va de même pour les graisses animales et les viandes transformées (charcuterie…).)).
Maintenez une consommation de viande modérée et essayez d’incorporer davantage de protéines végétales à votre alimentation.
Augmentez votre consommation de fruits, légumes et grains entiers
Même s’il n’existe pas d’aliment anticancéreux, diverses études ont déjà montré qu’une alimentation pauvre en fruits et légumes est associée à un risque plus élevé de cancer du sein, notamment de cancer du sein triple négatif. Les légumes, les fruits et les grains entiers sont d’excellentes sources de fibres et, selon le BCRF, « un apport plus élevé en fibres alimentaires au début de la vie était associé à un risque futur plus faible de cancer du sein « .
Limitez votre consommation d’alcool
Beaucoup de gens ignorent encore que l’alcool est cancérigène.. « Parmi les cancers imputables à la consommation dealcoolalcoolle cancer du sein est le plus fréquent, note l’Institut national du cancer.
Les femmes qui en consomment deux à trois lunetteslunettes par jour présentent un risque 20 % plus élevé que les non-buveurs.
Arrêter de fumer
Plus d’un cancer du sein sur dix est imputable au tabac. Pour une femme qui fume, le risque supplémentaire est augmenté de 21 %. Ce qui signifie – vous l’aurez compris – que le risque existe aussi – même s’il est moindre – pour les fumeurs passifs.
Contrairement aux idées reçues, il n’est jamais trop tard pour arrêter de fumer, même après un diagnostic de cancer du sein. Le tabagisme peut intensifier les effets secondaires de la radiothérapie anticancéreuse. Un patient qui arrête de fumer tolérera donc mieux les traitements. Mais ce n’est pas tout : un patient qui abandonne la cigarette aura de meilleures chances de survie.
Faites de l’exercice régulièrement
Le manque d’activité est responsable de 21 % des cancers du sein. Bouger aide à prévenir l’excès de poids etobésitéobésitéfacteurs de risque connus pour certains cancers (comme le cancer du sein). L’activité physiquephysique module également la production de certains hormoneshormones et de facteurs de croissancefacteurs de croissance qui sont impliqués dans la croissance tumorale. Enfin, cela stimule le système immunitairesystème immunitairefavorisant ainsi les défenses naturelles contre les cellules cancéreuses.
Et même si vous avez reçu un diagnostic de cancer, il n’est pas trop tard pour faire de l’exercice. À plus long terme, pratiquer une activité physique après diagnosticdiagnostic du cancer du sein réduit le risque de récidiverécidiveet le risque de décès est de 28 %.
Si vous avez accouché, allaitez
Selon la Fondation Cancer en Belgique, « Les professionnels de la santé conseillent d’allaiter pendant au moins six mois à un an ou plus après chaque naissance. Chaque nouvelle période deallaitement maternelallaitement maternel de 12 mois réduit votre risque de cancer du sein d’environ 4 %. »
Parlez à votre médecin des hormones
Méthodes contraceptives hormonales etthérapie hormonalethérapie hormonale La ménopause peut potentiellement augmenter le risque de cancer du sein chez les femmes. Il est toutefois important de noter que ce risque n’est pas le même pour tout le monde. Et pour de nombreuses femmes, les avantages de ces thérapiesthérapies prédominent largement. C’est pourquoi il est important d’en discuter avec votre médecin.
Avez-vous des antécédents familiaux ?
Il est crucial de connaître les antécédents de cancers des deux côtés de votre famille – du côté maternel mais aussi du côté paternel – pour mieux évaluer votre risque personnel et adapter votre suivi médical.
Envisagez quelques options en cas de risque élevé
Pour les femmes à haut risque, en particulier celles présentant des mutations génétiquegénétique comme BRCA1/2 ou PALB2 (associés à un risque important de cancer du sein, en particulier chez les femmes de moins de 40 ans), des options supplémentaires de réduction du risque existent, comme une surveillance étroite ou même mastectomiemastectomie prophylactique, c’est-à-dire leablationablation seins à des fins préventives.