Il suffit de prononcer le mot « budget » pour voir le visage de Daniel sous la lumière blanchâtre des néons de la salle villageoise de l’Union des districts de France à Pessac, à Gironde, samedi 1er février. le « submersion » Le migratoire l’a beaucoup choqué, mais le sympathisant de gauche admet être au milieu d’un dilemme: «Je ne voudrais pas être à la place des socialistes. Bien sûr, nous aimerions voir ce gouvernement plus favorable aux grandes fortunes de sauter au détriment des autres. Mais après quoi? Le risque d’instabilité est trop important si la censure est votée », dit-il, secouant la tête. « Avant de pointer de la gauche, rappelons-nous que le vrai manager de tout ce bazar est Macron », Il s’attaque toujours avant de tourner ses talons vers la scène.
Témoignages de ce type, le député socialiste Sébastien Saint-paster aura lu et entendu « Pas mal » Au cours des derniers jours. Le plus souvent par e-mail, ou au tournant d’une conversation, assure le représentant élu du septième district, en descendant la plate-forme. Quelques heures avant le Premier ministre