Journaliste d’origine biélorusse, Claire travaille chez Purepeople depuis 2019. Fan inconditionnelle de la série Sex And The City, elle connaît aussi par cœur la plupart des sonorités RnB des années 90 et 2000. Fleur bleue et éternelle romantique, elle s’intéresse à tout particulièrement à la vie amoureuse des stars.
Éternelle BB, Brigitte Bardot fêtera ses 90 ans dans quelques mois. Pour « Paris Match », l’actrice du film « Et Dieu créa la femme » a dévoilé quelles étaient ses dernières volontés, l’une d’elles pourrait aussi faire scandale et ne pas être respectée…
« Ce sera impossible ! » Brigitte Bardot révèle son dernier souhait et il ne sera sûrement pas respecté
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Le reste après la pub
A la veille de son 90e anniversaire, célébré le 29 septembre 2024, Brigitte Bardot a fait de précieuses confidences aux journalistes de Paris-MatchParlant avec beaucoup de pragmatisme et de sagesse de la fin de sa vie, elle a dévoilé une de ses dernières volontés qui pourrait malheureusement ne pas être respectée.
Son souhait ? En repos pour l’éternité à Saint-Tropez et plus particulièrement à La Madrague où elle vit depuis de nombreuses années. « Vous avez obtenu la rare permission de reposer pour l’éternité dans votre maison de La Madrague, avez-vous choisi l’endroit exact ? » nos collègues lui ont demandé. Elle a répondu : « Je pense que ce sera impossible ! Je ne veux pas créer de scandale et je respecterai les exigences légales. »
Un autre de ses souhaits qu’elle rêve de voir se réaliser est aussi que sa fondation pour le bien-être animal – fondée en 1986 – poursuive ses combats après sa mort. En créant cette association, l’actrice connue pour sa beauté a décidé de lutter contre la souffrance animale avec une conviction : « Sauver, protéger, aimer les animaux ». Un long voyage durant lequel l’ancienne muse de Serge Gainsbourg a dû surmonter de nombreux obstacles.
Brigitte Bardot, déterminée à faire vivre sa fondation pour les animaux
Elle dit : « C’était au tout début, je ne connaissais rien à l’aspect administratif qui est si difficile, et j’ai commencé avec une secrétaire, un Minitel et mon cœur. Je suis allée au marché de Saint-Tropez vendre tous mes souvenirs de voyages au Brésil, au Mexique, des photos dédicacées… Tout un tas de trucs pour gagner un peu d’argent et sauver les quelques animaux que j’ai ramassés sur mon chemin. »
Trente-six ans plus tard, cette fondation est présente dans près de 70 pays. « Ma fondation c’est mon bébé, elle est solide et je fais tout pour qu’elle me survive. Mais que va devenir le monde ? La situation actuelle est très sombre et je crains de sérieux bouleversements dans un avenir proche. Alors on verra ! conclut-elle avec inquiétude.