La disc-jockey et productrice Charlotte de Witte est née en 1992 à Gand en Belgique. Du premier bar où elle s’est produite devant quelques amis en 2010, au Sónar à Barcelone cette année, en passant par le festival Tomorrowland en 2022, Charlotte de Witte s’est bâtie une immense réputation sur la scène techno mondiale. Parmi ses grandes actualités, son année 2023 a été marquée par la sortie du très acclamé opus « Overdrive ». La reine de la techno a plus récemment sorti « Roar », son premier titre de 2024. Introduit par un compte à rebours qui tient en haleine, il est décrit par tous comme hypnotique et techniquement parfait. Il oscille entre techno, minimale et acid techno, avec de bonnes basses qui plairont à tous les tapeurs de pieds !
2 Elle a fondé ses propres labels
Elle sort son premier album en 2013 sous un pseudonyme masculin qu’elle abandonne rapidement pour reprendre son vrai nom, ce qui tombe bien vu la notoriété qu’il a acquise. Artiste accomplie, la Flamande a même lancé son propre label en 2019. Il s’appelle KNTXT, du nom également de sa célèbre émission de radio et des soirées organisées par la productrice au Palais des Sports d’Anvers. Elle y produit sa musique ainsi que celle d’autres artistes techno, à tel point que KNTXT Records est devenu un label phare. Et Charlotte de Witte ne s’est pas arrêtée là puisqu’elle a donné naissance en 2024 à Époque, un autre label dédié cette fois aux tubes emblématiques de l’histoire de la techno.
3 Elle a abandonné l’école pour vivre son rêve
Elle s’était lancée dans des études de droit. On imagine bien la tête de la fanatique de musique techno lorsqu’elle devait arriver dans un amphi pour son premier cours… Au même moment, celle qui a commencé à mixer dans sa chambre avec du « matos pourri » avait déjà commencé à se produire dans des petits bars locaux en Belgique. C’est là qu’elle a compris que sa vie serait faite de techno, et non de plaidoiries. Ciao l’univers !
4 Elle vient du pays le plus cool, la Belgique
Eh bien oui. C’est bien connu. Jacques Brel, Stromae, Selah Sue, Angèle, Charlotte de Witte… La Belgique est incontestablement pourvoyeuse d’artistes de renom. Ce royaume — il en est un, littéralement, avec de vrais rois — est aussi celui de la frite. Et ce n’est pas rien. Là-bas, les baraques à frites font partie de l’identité collective. C’est même une institution. On ne vous apprend rien en vous rappelant que les frites belges doivent leur renommée à leur double cuisson… Oui, le gras, c’est la vie. Dans la série des trucs cool, il y a aussi le symbole national de la Belgique, le plus connu des Bruxellois. Il s’appelle Manneken Pis et c’est la statue d’un petit garçon en train de faire pipi.
Pratique
Concert le samedi 13 juillet 2024, sur la scène Glenmor, de 1h45 à 3h du matin