Le républicain s’est montré offensif malgré un début de discours calme. Il est revenu sur la tentative d’assassinat dont il a été victime, et a attaqué son rival Joe Biden.
Le candidat à la présidentielle américaine se veut miraculé. Une semaine après la tentative d’assassinat dont il a été victime, Donald Trump a prononcé un discours à la Convention nationale républicaine, jeudi 18 juillet. L’occasion pour lui de revenir sur ce souvenir « traumatisant », mais aussi de dérouler son programme de manière offensive.
Donald Trump a bien sûr commencé son discours en revenant sur la tentative d’assassinat dont il a été victime. Il a assuré qu’il n’était « pas censé être là », et qu’il n’est en vie que grâce au « Seigneur Tout-Puissant ». « C’est un souvenir traumatisant » a-t-il encore affirmé.
L’ancien président américain a également rendu hommage à Corey Comperatore, un passant tué lors de l’attaque. « C’était un homme respecté », a-t-il déclaré avant d’embrasser le casque du pompier. Une minute de silence a été observée par la foule.
Après un début de campagne calme et pacifique, Donald Trump est rapidement passé à l’offensive, n’hésitant pas à attaquer Joe Biden et les démocrates. « Je suis celui qui sauve la démocratie pour notre pays », a déclaré le républicain, affirmant que ses adversaires ont « détruit les États-Unis ».
« Vous prenez les dix pires présidents, vous additionnez leurs bilans, ils n’auront pas fait autant de mal à ce pays que Joe Biden », a-t-il déclaré.
Il appelle donc à voter pour lui afin de « sauver le pays d’un gouvernement défaillant et incompétent ».
Donald Trump a donc déroulé son programme, sans changer une seule ligne par rapport à son habituel, montrant que la tentative d’assassinat ne l’avait pas transformé. Il a ainsi appelé à « terminer la construction » du mur à la frontière avec le Mexique, mesure emblématique de sa première campagne présidentielle. Dès son premier jour en tant que nouveau président, il entend également « fermer la frontière ».
Autre mesure phare, il promet de « forer à volonté », assurant que les mesures environnementales menées par les démocrates sont une « arnaque verte ».
Donald Trump s’est présenté comme un dirigeant de stature internationale, capable de mettre fin aux conflits dans le monde « d’un simple coup de fil », rappelant son entente avec le dictateur nord-coréen Kim Jong Un.
« Je crois qu’il me manque », a-t-il dit, promettant que s’il revenait à la Maison Blanche, la Corée du Nord, dotée de l’arme nucléaire, cesserait de lancer des missiles. « Nos adversaires ont hérité d’un monde en paix et l’ont transformé en un monde en guerre… Regardez cette attaque contre Israël. Regardez ce qui se passe en Ukraine », a-t-il poursuivi.
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