Nouvelles locales

Ce qui nous attend

J’ai deux informations. La première est que, selon la Chaîne Météo, depuis le 10 juin, la France connaît une « décrochage polaire »c’est-à-dire une forte baisse des températures (trois à cinq degrés en dessous de la normale), due à un courant atmosphérique en haute altitude qui sépare les masses d’air froid des masses d’air chaud et «influence directement la dépression».

La chaîne météo devrait se lancer en politique. Car, depuis le 10 juin (disons même le 9 au soir), nous sommes effectivement en pleine bascule. Avec une baisse brutale des températures. Et des dépressions en série. J’attends avec intérêt le bulletin de la Chaîne Météo du soir du 7 juillet.

La deuxième information concerne mon post d’hier, cette histoire de « dix sous » et de « dissous », dont je ne me souvenais plus d’où il venait. Eh bien, grâce à sœur Nathalie, du Carmel Saint-Joseph, à Caen, je sais : cela vient tout simplement du croquis de Bourvil sur l’eau ferrugineuse. Écoutons-le : « Et pourquoi y a-t-il du fer dans l’alcool ? Euh, dans de l’eau ferruchenique, dans de l’eau ferruchene, hein ? C’est parce que le fer, euh non, pas le fer… l’eau, dis-je, c’est parce que l’eau passait encore et encore sur le fer et le fer se dissolvait. Cela a dissous le fer. Et le fer à dix centimes ne coûte pas cher. »

Eh oui. Le fer à dix cents s’est dissous. Et Macron aussi. Et cela pourrait nous coûter plus de dix centimes. D’où le changement polaire. Et les dépressions. Tout est dans tout.

William Dupuy

Independent political analyst working in this field for 14 years, I analyze political events from a different angle.
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