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Ce que l’on sait du plan de paix supervisé par les États-Unis et rejeté par Volodymyr Zelensky

Gérard Truchon by Gérard Truchon
avril 24, 2025
in Nouvelles locales
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Ce que l’on sait du plan de paix supervisé par les États-Unis et rejeté par Volodymyr Zelensky

Après une nouvelle attaque de drones particulièrement violente dans la nuit de mercredi au jeudi, l’Ukraine refuse de céder à la pression américaine pour signer un accord dont les contours ont émergé dans les médias américains.



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Publié 24/04/2025 12:47


Temps de lecture: 8min

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, donne une conférence de presse à Kiev (Ukraine), 22 avril 2025. (Tetiana Dzhafarova / AFP)

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, donne une conférence de presse à Kiev (Ukraine), le 22 avril 2025. (Tetiana dzhafarova / afp)

« Nous sommes très proches d’un accord, mais l’homme qui n’a plus de carte à jouer ‘ doit maintenant agir.  » Dans ce message furieux publié le mercredi 23 avril sur son réseau social, Donald Trump vise la tête – sur Volodymyr Zelensky, l’accusant d’avoir entravé un accord de « Presque conclu » Avec Moscou. Le président américain dénonce des postes particuliers « Incendiaires » de son homologue ukrainien sur la Crimée et l’accuse de prolonger inutilement la guerre.

La tension a encore monté une encoche après que Kyiv a refusé une proposition apportée par les émissaires américains. Alors que Moscou avance lentement dans l’Est et Kiev revendique un cessez-le-feu total avant toute négociation directe, les pressions s’intensifient autour de l’Ukraine. Pendant la nuit de mercredi à jeudi, la capitale ukrainienne a été ciblée par une attaque massive de drones et de missiles, l’une des plus violentes depuis le début de la guerre.

Dans ce contexte explosif, des éléments du plan élaboré sous l’égide des États-Unis circulent depuis plusieurs jours dans la presse américaine. Gel des lignes de front, cristallisation autour de la Crimée, accord jugé trop favorable à la Russie … Franceinfo vous résume Les défis du compromis que Washington a tenté d’imposer, sans succès.

Un gel de lignes de front présenté comme « un cessez-le-feu réaliste »

La congélation des lignes de front est l’un des principaux leviers du plan de paix portés par les émissaires américains. Ce scénario, qui équivaut à une guerre glaciale sur ses positions actuelles, est au cœur des négociations effectuées dans les coulisses entre Washington, Moscou et Kiev. Selon Le gardienLe président russe Vladimir Poutine aurait été prêt à ratifier le statu quo Militaire, sous condition de l’obtention de concessions majeures des États-Unis, notamment la réduction des sanctions américaines ou l’abandon de toute perspective de l’adhésion à l’Ukraine à l’OTAN.

Dans les détails révélés par plusieurs médias anglo-saxons, le plan défendu par Washington envisage une carte gelée du conflit, modélisé sur les lignes de front actuelles, tandis que la Russie contrôle actuellement près de 20% des territoires ukrainiens. Selon le Temps financierLa Russie a suggéré qu’elle pourrait abandonner ses ambitions sur certaines régions encore sous le contrôle ukrainien dans quatre régions contestées qui sont Donetsk, Louhansk, Kherson et Zaporijia, sur plusieurs conditions, parmi lesquelles les autres territoires occupés par la Russie sont reconnus sont reconnus de facto comme étant sous le contrôle russe.

Le vice-président américain JD Vance a confirmé cette approche mercredi, évoquant la stabilisation de « Les frontières territoriales à un niveau proche de leur niveau actuel ». Il a reconnu que cela impliquerait « Que les Ukrainiens et les Russes devront vendre une partie du territoire qu’ils ont actuellement ». La proposition est jugée inacceptable par Kiev, qui considère que ces compromis sur l’intégrité de son territoire ouvriraient la voie à d’autres agressions. Mais pour Donald Trump, ce gel avant représente un compromis pragmatique et un éventuel succès diplomatique sur lequel capitaliser.

Washington est prêt à confirmer l’annexion de la Crimée

Au cœur des tensions diplomatiques, la Crimée cristallise les désaccords. Plusieurs sources européennes citées par le New York Times Affirmer que le plan de paix discuté comprend une reconnaissance particulière des États-Unis de l’annexion de la péninsule par Moscou en 2014. Une perspective explosive, car elle marquerait une rupture historique avec la position tenue jusqu’à présent par Washington, toutes les administrations combinées. En 2018, le secrétaire d’État Mike Pompeo avait rappelé que« Pas de pays P(ouvai)t modifier les limites d’une autre par la force « souligner The Wall Street Journal.

Sept ans plus tard, le ton a changé. Le président américain a dit que « La Crimée a été perdue il y a des années » Et que sa restitution « n’est même pas sujet à la discussion ». Tout en garantissant que la vérité sociale ne demande pas à Volodymyr Zelensky une reconnaissance officielle, Donald Trump implique que Washington pourrait l’assumer à sa place, une pression qui fait tête de la position ukrainienne.

« Il n’y a rien à discuter. C’est contre notre Constitution. C’est notre territoire »a décidé mardi Volodymyr Zelensky aux journalistes ukrainiens, dénonçant une attaque contre la souveraineté nationale. Pour le chercheur Matthew Savill, cité par le TuteurUne telle reconnaissance américaine serait équivalente à « Soutenir activement la position russe » Contre celui de Kyiv. Selon son analyse, derrière la participation de la Crimée, c’est toute la crédibilité du droit international qui vacille.

Une proposition de cessez-le-feu jugée favorable à Moscou

Selon ses promoteurs américains, dont le vice-président JD Vance et le secrétaire d’État Marco Rubio, l’accord pour superviser le cessez-le-feu serait la clé d’une paix durable. Mais à mesure que les détails émergent, le plan augmente de nombreuses critiques. Derrière le vernis diplomatique, de nombreux observateurs voient une feuille de route dangereusement biaisée, de Moscou d’automne à épargner, même si cela signifie sacrifier les intérêts de Kiev.

L’Ukraine serait obligée de renoncer à toute reconquête militaire de ses territoires occupés, tandis que la Russie, bien qu’en a demandé d’arrêter ses progrès, conserverait ses positions actuelles. Le plan mentionné par Le gardien Et Axios Mentionne également le fait que la centrale nucléaire de Zaporijjia, territoire ukrainien sous occupation russe, serait considérée comme un territoire ukrainien mais exploitée par les États-Unis, et distribuerait son électricité à la fois à l’Ukraine et à la Russie.

LE New York Times souligne que Washington semble prêt à « Forcer l’Ukraine à accepter la redéfinition forcée de sa frontière »tout en fermant définitivement la porte à une éventuelle adhésion à l’Ukraine à l’OTAN. La proposition américaine de facto consacre un statu quo Militaire, tout en privant Kyiv de ses leviers de souveraineté. Pire encore, selon L’AtlantiqueCette feuille de route pourrait affaiblir enfin Kiev, ouvrant la voie à une reprise des offensives russes une fois que les forces sont réorganisées. « Ce qui restera de l’État ukrainien »prévient l’examen, « deviendra une cible facile pour le Kremlin ».

Les États-Unis menacent de retirer les négociations si aucun accord n’est conclu

Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump imprime une nouvelle cadence dans les négociations de paix entre l’Ukraine et la Russie, plaçant Kiev sous des pressions sans précédent. Ce plan de cessez-le-feu défendu par Washington fait revivre les tensions entre les deux pays, près de deux mois après une altercation historique au bureau ovale. « Il peut avoir la paix ou il peut se battre pendant encore trois ans avant de perdre tout le pays »Mena le président américain sur Truth Social, ciblant directement Volodymyr Zelensky. Maintenant, les États-Unis ne sont plus en soutien inconditionnel. Selon le New York TimesDonald Trump a menacé de retirer son pays du processus si les conditions américaines n’étaient pas acceptées.

Mais c’est surtout en Ukraine que cet avertissement est pour. « Nous avons fait une proposition très explicite aux Russes et aux Ukrainiens, et il est temps pour eux d’accepter »a insisté le vice-président, JD Vance. « Le président (Donald Trump) est très malheureux. Sa patience atteint ses limites « a ajouté son porte-parole, Karoline Leavitt, cité par l’AFP. Alors que les discussions tripartites se poursuivent jeudi à Londres, le message de Washington est clair: l’Ukraine doit accepter les termes d’une paix que beaucoup sont considérées comme défavorables ou perdre le soutien des États-Unis, déjà fortement miné depuis l’élection de Donald Trump.

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