Pendant de nombreuses années, Gwendoline Hamon et Frédéric Diefenthal ont formé un couple médiatique pendant dix-neuf ans. Ensemble, ils ont accueilli avec lui un garçon nommé Gabriel.
Gwendoline Hamon a attendu l’âge de 45 ans pour incarner le personnage de Cassandre qui revient ce samedi 30 mars sur France 3. « Je n’ai pas l’impression d’avoir attendu parce que quand j’ai commencé, mon objectif était de faire du théâtre. Je pensais que je serais trop identifiée si je jouais une série. Et puis je n’étais pas à la mode », a dit l’actrice dans le podcast Ombres et lumière. « Avec mon nez retroussé, mes cheveux longs et mes yeux bleus, j’avais un physique de jeune fille et j’étais peut-être moins intéressante que les autres. Le fait d’avoir toujours entendu dire que j’étais assez gênait car cela impliquait que je devais être un peu bête. Aujourd’hui, j’ai accepté que j’avais une certaine image qui pourrait ne pas inspirer certaines personnes. »
Cassandre : la mort de sa grand-mère et de sa mère (en un an), puis le divorce avec Frédéric Diefenthal ont donné une nouvelle énergie à Gwendoline Hamon.
Y a-t-il eu un élément déclencheur à cette prise de conscience ? Gwendoline Hamon répondu : « Sans faire de contre-psychologie, il y a eu la mort de ma grand-mère et de ma mère (dans un an)puis le divorce d’avec mon mari (Frédéric Diefenthal, Note de l’éditeur). Tous ces « deuils » m’ont donné une nouvelle énergie. Ce n’est pas dans ma nature de me laisser aller. Je suis un plutôt bon petit soldat. Le succès rend beau, il donne des ailes et je voulais en faire quelque chose. Je ne suis pas une star : il n’y a pas de mot plus bête que ça ! En revanche, j’ai de la visibilité. Sur les réseaux sociaux, où tout le monde commente, je ne vois pas pourquoi je ne dirais pas ce qui me touche ou me révolte. Mon mot préféré au monde est « juste « ».
Le reste sous cette annonce
Cassandre : Gwendoline Hamon ne serait pas la même femme si elle n’avait pas grandi en Afrique
Gwendoline Hamon s’est également souvenue de son enfance au Sénégal et de son retour en France : « Mes premiers souvenirs sont ceux de l’Afrique et c’était extraordinaire ! Je ne serais pas la même femme si je n’avais pas grandi là-bas. Quand j’avais 8 ans, ma mère m’a dit que nous ne rentrions en France que pour les vacances. Mais elle était tombée très amoureuse et nous ne sommes jamais revenus. Ce fut une tragédie pour moi. Je n’ai aucun souvenir douloureux du divorce de mes parents, mais je regrette énormément mon père qui me suivra jusqu’à ma mort. la relation avec les hommes était désormais différente ».