Une déclaration, rapportée par plusieurs participants, recoupée par la presse et non formellement démentie par l’Élysée, qui avait provoqué de nombreux bouleversements politiques et de fortes tensions avec Tel-Aviv. « Je crois en dire assez sur la situation au Moyen-Orient pour ne pas avoir besoin d’un ventriloque », a fustigé le président de la République, appelant les ministres à « faire preuve de respect des règles et des fonctions pour ne pas faire circuler de fausses informations » et les journalistes. « de traiter les propositions signalées avec les précautions nécessaires ».