Divertissement

Cash, Amanda Lear dit à ce chroniqueur de Quotidien qu’elle est « moche » : « C’est terrible, je suis désolée ! » »

Résumé

Résumé

L’équipe du Quotidien a passé un délicieux moment en compagnie d’Amanda Lear, ce 26 novembre 2024. Invitée à promouvoir son double vinyle »Laisse-moi te divertir »la chanteuse et actrice en a profité pour revenir sur ses plus grosses punchlines.

Au fil des entretiens, celle qui fut la muse de Salvador Dali a pu réaliser un florilège de tous ces mots pleins d’esprit. Et Yann Barthès a lu quelques citations à l’antenne, ce qui a beaucoup amusé l’auditoire.

La grande punchline d’Amanda Lear

Il a demandé à Amanda Lear :  » D’où vient ce sens de la punchline ? Depuis que je suis petite« . Et la star a répondu humblement : « Cela me vient assez facilement de dire des bêtises. ».

Amusée par ses propres sorties, celle qui déteste la normalité et le bien-pensant, a aussi reconnu qu’elle était parfois un peu trop franche. Et d’admettre : « C’est terrible, je n’en peux plus, puis je le regrette, je le regrette« .

Elle en a donné la preuve quelques secondes plus tard. En effet, Yann Barthès qui continuait de lire ses sorties les plus drôles, à l’antenne, lui demanda : « Mon conseil beauté ? »

Aucune offense de Maïa Mazaurette

Sans attendre, Amanda Lear a répondu : « Asseyez-vous à côté d’une fille laide! » provoquant l’hilarité de tous les chroniqueurs autour de la table. Royale, elle s’est alors tournée vers la journaliste Maïa Mazaurette et lui a assuré : « Non, non mais pas toi. »

De son côté, le chef de troupe, Yann Barthès a entouré : « À côté de quelqu’un de moche… Ce n’était pas toi, Maïa… » Et son chroniqueur aux cheveux de feu assure dans un éclat de rire et en reprenant son souffle : « Je ne l’ai pas pris personnellement« .

Dans le reste de son œuvre, Amanda Lear a également partagé ces merveilleux mots : « Je n’ai jamais dormi pour arriver, je suis arrivé pour dormir« . Mais aussi : « Un jour, j’ai essayé de me comporter normalement, j’ai passé un moment terrible ».

Et enfin : « Quand je serai mort, ils me sortiront avec Carbon 14 pour enfin connaître mon âge« , assurant par ailleurs que « l’âge n’a pas d’importance… tant qu’ils sont adultes.

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Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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