Caroline Goldman dévoile sa technique improbable pour empêcher son fils de 8 ans de rester devant les écrans !

Caroline Goldman était l’invitée de La maison de la maternelle pour la sortie de son nouveau livre. Elle partage une de ses techniques pour éviter que son fils passe trop de temps devant les écrans.

La psychologue spécialisée dans les troubles touchant les enfants était l’invitée de La maison de la maternelle. Dans l’émission destinée aux parents de France 2, elle a présenté son dernier ouvrage Pour quoi ? Cours courts de psychologie pour enfants de 8 à 11 ans édité par Dunod. Elle énumère plusieurs questions typiques d’une époque où l’on prend conscience des difficultés que l’on peut rencontrer sur son chemin. Dans sa préface elle revient sur les angoisses dont elle a elle-même été victime étant enfant et dont elle a parlé à Nicolas Demorand sur France Inter.

Une astuce pour limiter l’exposition des enfants aux écrans

Interrogée par Agathe Lecaron et ses chroniqueurs sur la dangerosité de l’exposition prolongée des enfants aux écrans, la psychothérapeute prend un exemple. « Quand mon fils de 8 ans se fait hypnotiser devant la tablette, je viens régulièrement le chatouiller, l’embrasser dans le cou, lui dire des petites bêtises et là il éclate de rire. Et je lui dis : « Ça fait une heure que tu ris comme ça avec ta tablette ? », il me dit : « Non ! »«En outre, elle continue:»Ce n’est pas juste un baiser, ça les fait rire !» Elle revient ensuite sur l’importance de dédramatiser les situations même les plus difficiles avec ses enfants par l’humour.

Caroline Goldman et l’éducation positive

Celui qui « destiné aux enfants » à travers son livre s’intéresse à ce qui fait le bonheur mais aussi à la notion de plaisir. La fille de Jean-Jacques Goldman questionne l’amour mais aussi l’amitié. Dans cet ouvrage elle s’éloigne de ses propos sur l’éducation positive pour lesquels elle avait été fortement critiquée dans le . Figaro L’année dernière, elle a déclaré :L’éducation positive, telle qu’elle est conçue aujourd’hui, fantasme la réalité et nie l’agressivité naturelle de l’enfant qui appelle des limites.« . Depuis, la psychothérapeute a gagné des soutiens. Dans les pages du Parisien du 14 mai, elle disait : Je bénéficie au quotidien du soutien de grands professionnels. Des psychanalystes de renom comme Claude Halmos, Élisabeth Roudinesco et Caroline Eliacheff m’ont publiquement soutenu. J’ai l’impression d’avoir gagné la bataille« . De quoi calmer les esprits ou continuer à creuser le fossé entre les partisans et les détracteurs de l’éducation positive.