Capitaine des Bleus face à Israël, Aurélien Tchouaméni gagne du terrain
Il ne faut certainement pas regretter que le brassard de capitaine de l’équipe de France soit, aux yeux des joueurs modernes, un peu plus qu’un morceau de tissu fluo que l’on reconnaît dans la nuit. Cela témoigne à la fois de l’ego et de l’attachement de ces joueurs, et de la manière dont le brassard symbolise l’idée de leadership ou de hiérarchie, dans l’esprit d’un entraîneur. Même s’il s’agissait de désigner le troisième capitaine en trois matches, depuis l’Euro, après Kylian Mbappé contre l’Italie (1-3) et N’Golo Kanté contre la Belgique (2-0), et même s’il est possible qu’un quatrième arrive, lundi, en Belgique, la nomination d’Aurélien Tchouaméni pour le match Israël-France à Budapest, ce jeudi, a clôturé une série qui a nourri les conversations, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’équipe de France.