«C’est un pas en arrière incompréhensible. Je n’ose pas imaginer ce qui m’attend sans ce traitement qui m’a tellement aidé. »» Comme quelque 1 700 patients, Cyril Chappes, 46 ans, vit avec une épée de Damocles au-dessus de sa tête depuis l’annonce du gouvernement, fin décembre, la fin de l’expérimentation de l’utilisation du cannabis médical. Un protocole qui, après des dizaines de traitements inopérants, lui a permis de soulager « Enfin sa douleur neuropathique intense » s’est produit après un accident vasculaire cérébral en 2019.
Launched in March 2021, the experiment ended on December 31, 2024, while everything suggested that the health authorities would allow a placing on the market of therapeutic cannabis in 2025. Admittedly, to avoid a brutal stop, the Barnier government extended in extremis access to ces traitements.
Mais cette extension de six mois s’accompagne d’une injonction aux médecins pour arrêter tout le traitement des patients suivi dans le cadre de ce protocole. Un répit temporaire qui les plonge en anxiété sans nom, tandis que beaucoup d’entre eux ont remarqué des améliorations notables dans leur état.
Patients en impasse thérapeutique
« Ça nous tue pour faire ça »résume Amélie Ribeiro Dias, une jeune femme atteinte de syringomyélie (une maladie de la moelle épinière), qui l’a vue « La douleur diminue de 80% ». « J’avais déjà consommé du cannabis illégalement Pour soulager mes symptômes (douleur, sommeil, anxiété). À partir de maintenant, je peux le faire légalement et bénéficier d’un suivi régulier de la part de mon médecin », témoigne de sa part Valéririe Védère, souffrant de VIH et également soignée pour le cancer de la gorge.