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candidate « dans le sang », elle a frôlé la mort

candidate « dans le sang », elle a frôlé la mort

Samedi prochain 14 décembre à l’Arena Futuroscope, à Poitiers aura lieu le concours Miss France 2025.. Cette année, les trente candidats en lice sont âgés de 18 à 34 ans. Pour cette nouvelle élection, le thème de la soirée sera le grand bal. Au total, les trente Miss défileront sur neuf scènes durant lesquelles elles danseront du twist, de la country ou encore du tango. Les cinq finalistes seront ensuite accompagnés de 20 danseurs classiques. Le spectacle sera là !

Miss Provence attentive aux réseaux sociaux

Mais avant le grand jour, les candidats sont partis en Côte d’Ivoire dans le cadre du voyage de préparation. Un séjour durant lequel un participant a été exclu du groupe. Deux semaines avant le concours de beauté, Mégane Bertaud, Miss Provence, s’est confiée à nos confrères de
Télé-Loisirs où elle a révélé : « Pas de pression, mais je suis déterminé à représenter au mieux la Provence et à tenter de remporter cette couronne que l’on attend chaque année. Je n’ai encore jamais rencontré Jean-Pierre Foucault, mais il y a plein de stars qui sont alignées avec moi car j’ai été élue Miss Saint Raphaël une première fois, puis Miss Provence à Saint-Raphaël et un musée Miss ouvrira l’année prochaine à … Saint-Raphaël ! signe. »

Parallèlement, elle a confié qu’elle était attentive aux commentaires reçus sur les réseaux sociaux. « Pour moi, c’est important. J’ai la curiosité de savoir ce que pensent les gens. Et je n’ai reçu aucun mauvais commentaire, donc ce n’est pas grave. Même s’il y en avait peu, je n’en ai pas forcément tenu compte, car c’est vrai que la majorité des personnes qui ont commenté ou envoyé des messages étaient juste favorables. Alors je m’en souviens juste. « a-t-elle admis.

Miss Nord-Pas-de-Calais victime de racisme

Justement concernant les réseaux sociaux, il y a une Miss qui a été victime de messages haineux, c’est Miss Nord-Pas-de-Calais. « Depuis que je suis élue Miss Nord-Pas-de-Calais, je fais face à une vague de haine raciste sur les réseaux sociaux en raison de mes origines. Mon nom fait partie de mon identité et cela n’a rien à voir. voir avec ma nationalité »a-t-elle annoncé sur sa story Instagram.

Elle a ensuite précisé en déclarant : « La France est un pays multiculturel, et avoir un nom qui vient d’ailleurs ne change rien au fait que je suis français. JJe suis né en France, tout comme mes parents, nous nous considérons avant tout français. Mes origines font partie de mon histoire, mais elles ne définissent pas qui je suis. Mon élection est la preuve que notre région est riche de diversité et de valeurs, et je suis fier de la représenter. La haine n’a pas sa place dans notre société, et je continuerai de porter ce titre avec fierté, détermination et respect de tous. Nous sommes tous égaux, quels que soient notre nom ou nos origines. Ces attaques ne sont que le reflet de l’ignorance et de la jalousie. »

Miss Franche-Comté hospitalisée plusieurs semaines

De son côté, Manon Le Maou, Miss Franche-Comté, s’est confiée à nos confrères de Paris-Match sur son travail de policier. Elle révélait alors qu’elle avait frôlé la mort au cours de son travail. « J’étais en patrouille de nuit avec un collègue et la BAC de la commune voisine nous a appelé en renfort pour un refus d’obtempérer survenu à proximité de notre secteur.
L’auteur du délit de fuite s’est retourné, nous a frappé de plein fouet et nous sommes tombés dans un ravin. Cela a dû durer une fraction de seconde, mais cela m’a semblé dix minutes. Nous nous sommes retrouvés accrochés dans la voiture avec mon collègue, un arbre avait percé ma portière et j’avais le visage en sang. « J’avais tellement mal à la mâchoire que j’avais l’impression d’avoir perdu la moitié de mon visage. »
dit-elle.

« J’ai commencé à sentir un incendie. L’aspect protocolaire a pris le dessus et j’ai pu appeler les pompiers grâce à un casque sans fil que j’ai attrapé dans ma poche. J’ai alors récupéré mon collègue qui ne pouvait pas retirer sa ceinture mais le voyant tomber sur le tableau de bord, j’avais peur que la voiture tombe dans le ravin mais nous avons réussi à nous dégager et à remonter le ravin.a-t-elle ajouté avant de préciser :
« J’ai été hospitalisé plusieurs semaines, j’ai eu beaucoup de traumatismes au visage (…) J’avais aussi des problèmes psychologiques, notamment lorsque je conduisais la nuit. C’était traumatisant. »

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