Le traitement du cancer évolue rapidement, y compris en médecine nucléaire. Dans les résultats de l’essai présenté à l’Asco, la grand-messe américaine d’oncologie qui s’est terminée mardi, il existait deux types de médicaments basés sur l’irradiation. Un segment où ça bouge particulièrement en France.
Les radioligands sont des médicaments comportant une charge radioactive qu’ils libèrent au cœur des cellules cancéreuses. Cette « radiothérapie interne » suscite beaucoup d’espoir. Le plus connu, Pluvicto, du suisse Novartis, pour le cancer de la prostate, sera produit en France. Par ailleurs, la biotech française Nanobiotix a présenté à l’Asco les résultats positifs de l’efficacité de son médicament, un amplificateur de radiothérapie.