Calogero se souvient d’une période difficile de sa vie durant laquelle Jean-Jacques Goldman l’a aidé
Invité de l’émission Le monde d’Elodiecette semaine sur France Info, le chanteur Calogero se confie sur la mauvaise passe qu’il a traversée et le coup de main de Jean-Jacques Goldman à ce moment-là.
Une aide précieuse… Calogero est l’invité de l’émission de France Info Le monde d’Elodietout au long de la semaine. Ce mercredi 28 août 2024, le chanteur a notamment évoqué la composition de son cinquième album studio sorti en 2009 et intitulé L’embellissement. « C’est un album où je sors d’une période un peu compliquée.« , confie l’interprète deEn apesanteur, Oui, ou même Si seulement je pouvais lui manquer. « En général, je l’appelais L’Embellie, alors que Ce n’était pas du tout une amélioration dans ma têtemais c’était une force de persuasion. J’ai voulu m’en convaincre et ça m’a apporté l’amélioration, finalement. Et j’aime beaucoup cet album aujourd’hui » a-t-il remarqué.
Calogero parle de l’aide que Jean-Jacques Goldman lui a apportée pendant une période difficile
Au micro de France Info, Calogero mentionne également le coup de main qu’il a reçu de Jean-Jacques Goldman lors de l’écriture On dit, « la chanson qui a été la force motrice de l’album« , précise-t-il. « Il y a ces courriels très modestes et respectueux que nous nous envoyons les uns aux autres avec Jean-Jacques Goldman, pour faire la chanson« , raconte le chanteur de 53 ans.Je me souviens que pour C’est dit, mon thème était un peu sophistiqué, un peu particulier et Jean-Jacques Goldman m’a demandé : « Mais Calo, où est le crochet ? », et je n’en savais rien alors il m’a répondu : « Eh bien, je cherche le crochet et nous le trouverons » Et finalement c’est devenu : « On n’est riche qu’avec ses amis, dit-on » Cela ressemble tellement à ma vie, c’est ça la vraie richesse après tout » a-t-il confié.
Calogero évoque sa relation avec Jean-Jacques Goldman
Demandé dans Paris Match L’année dernière, Calogero assurait : «J’ai un côté imprévisible, je suis capable de disparaître du jour au lendemain. J’admire ceux qui ont réussi à partir alors qu’ils étaient au sommet, comme Jean-Jacques Goldman« , avant de dévoiler l’étonnant désir qui l’animait à l’égard de Jean-Jacques Goldman : « Je lui parle de temps en temps, J’espère secrètement qu’il reviendra. S’il le fait, je serai son bassiste, il n’aura pas le choix ! » dit-il en riant.