Enquête – L’élysée doit assumer de nombreux postes dans les prochaines semaines. Mais avant de choisir, le président de la République devra faire face au Premier ministre, à l’Assemblée et au Sénat.
Richard Ferrand était chaud. Emmanuel Macron aussi. Mercredi dernier, le candidat du chef de l’État pour la présidence du Conseil constitutionnel n’a fait que le test des lois de l’Assemblée nationale et du Sénat qu’un seul vote. Un succès sans gloire, qui a fourni la preuve que cette procédure « N’est plus une promenade en santé »Comme le dit un député.
Cependant, de tels rendez-vous risquées, il y en a beaucoup qui sont prometteurs dans les semaines à venir et les prochains mois. Réel embouteillage. Il est nécessaire de remplacer les ministres Éric Lombard au Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), Philippe Baptiste au CNES (National Center for Spatial Studies) et Laurent Saint-Martin (Business France). Les successeurs doivent également être trouvés dans les propriétaires des entreprises publiques à la fin du mandat, affectées par la limite d’âge, le poste et le SNCF. Pour dire arrêter ou même au PDG d’EDF, dont le mandat de l’administrateur, pris en cours de route à la fin de 2022, a déjà expiré. Tous ces postes sont régis par l’article 13 de la Constitution: c’est le président de la République qui nomme. C’est chic. Mais pas très bien payé selon les normes du monde des grandes entreprises (450 000 euros par an maximum).
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