Dominic Thiem n’est pas homme à montrer ses émotions. Ce stoïcisme qui ne le lâche jamais – presque une anomalie dans ce sport qui fait les chèvres les plus placides – l’a encore escorté sur le court Suzanne-Lenglen mercredi. Même la petite cérémonie organisée, après sa défaite contre le Finlandais Otto Virtanen au 2e tour des qualifications (6-2, 7-5), pour honorer sa sortie et saluer sa dernière apparition à Roland-Garros, ne l’a pas fait vaciller. . En tout cas, il n’a rien laissé paraître, aux côtés d’Amélie Mauresmo, la directrice du tournoi, venue lui remettre un trophée d’honneur pour marquer le coup.